lundi 25 août 2014

Endurance de force au col du verdun

Lundi matin, j'ai effectué un entraînement en endurance de force dans la montée du Verdun, en compagnie de Guillaume et de Julien. J'ai retrouvé mes 2 compagnons de route sur les quais de Saône par une température fraiche, 11°, qui nous accompagnera tout au long de la sortie. J'ai eu raison de sortir un cuissard long : je n'ai eu ni froid ni chaud, je pense que c'était le bon équipement à utiliser par cette température.

On s'est échauffé pendant une heure avant de monter sur le circuit de la course de côte. Une petite pluie a fait son apparition au bout de 40 minutes, humidifiant légèrement le sol et laissant des traces sur les verres de nos lunettes, mais sans nous gêner.

L'exercice du jour a consisté à grimper 3 fois la côte sur le gros plateau, en force mais en maintenant une certaine cadence et une certaine souplesse. La descente, elle, est faite sur le petit plateau en tournant les jambes afin que les muscles gardent leur élasticité. Guillaume et Julien n'effectuant pas l'exercice, il était amusant de constater que nos changements de plateau se croisaient : en bas de la montée je passais sur le gros plateau tandis qu'ils passaient sur le petit, en haut ils passaient le gros plateau tandis que je passais sur le petit. Une sorte de chassé-croisé estival des dérailleurs, mais sans les bouchons associés habituellement à cette expression.

Une fois la séance de travail terminée, on est descendu sur les quais de Saône par la descente de Poleymieux. Il s'agissait de ma première longue descente (8 kilomètres) sur mon nouveau vélo, légèrement plus court que le précédent (c'est un cadre 53,5 au lieu d'un 55), j'ai donc pris le temps d'étudier son comportement dans les courbes et dans les virages serrés. Je vous avoue que j'étais moins à l'aise que d'habitude dans cette descente que je connais très bien et qui ne me pose aucun soucis habituellement. Je pense que ce n'est qu'une question de temps, qu'il faut que je m'adapte et que je prenne confiance avec ce nouveau vélo.

Le retour s'est fait tranquillement via le plateau de la Dombes, permettant de changer des habituels quais de Saône.

Consultez notre parcours.

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