Je suis allé effectuer ma 3ème sortie avec des bosses : Lachassagne, Charnay (par la route des crêtes), Dardilly et le col du Verdun étaient au programme du jour. La sortie a été majoritairement très bien ensoleillée, mais en fin de sortie je me suis pris un petit orage de grêle sur le casque.
J'ai remonté les quais de Saône au train jusqu'à Anse. A 4km de Anse, je me suis fait doubler par 2 gars qui roulaient comme des avions, je n'ai même pas eu le temps de me poser la question "est-ce que je me glisse dans leur roue" qu'ils m'avaient déjà pris plusieurs longueurs d'avance. J'ai préféré ne pas faire l'effort pour leur revenir dessus et ai continué à ma propre vitesse.
Je les ai finalement repris au train dans la montée de Lachassagne : un des deux avions sur le plat grimpait comme une enclume, l'autre était nettement plus à l'aise mais attendait son compagnon. Je me suis fait la peau pour leur revenir dessus, et ai du coup coincé dans le mur final : le gars qui avait attendu était bien plus frais que moi et m'a battu en haut. Cette montée m'a bien décrassée le moteur et m'a montré que je commençais à avoir envie d'en découdre sportivement. Vivement le début des courses !
J'ai récupéré jusqu'à Charnay, puis me suis lancé dans la descente : j'ai été très propre, très précis dans mes trajectoires, très fluide ...je me suis bien fait plaisir. J'ai ensuite attaqué la longue montée de Dardilly en passant par Dommartin : sur le faux plat montant je n'avais aucun problème mais dans les quelques passages un peu pentu je coinçais légèrement. Rien d'inquiétant je pense que je subis les contrecoups de ma sortie d'hier.
Après Dardilly, je suis monté sur Limonest puis j'ai enchainé jusqu'au col du verdun. J'ai voulu me tester les jambes mais me suis laissé progressivement endormir. Le chrono a été véritablement sans appel : 10min 20sec de montée, je crois que c'est un de mes plus mauvais temps depuis 2 ans ! Je suis redescendu, j'ai franchi un cinquième col pour 2010 (le col de la croix de presles) puis ai filé sur St didier et Vaise.
J'ai effectué une nouvelle descente très plaisante, très propre et très fluide, me permettant le luxe de rattraper et doubler des voitures. Je suis rentré par les quais afin de faire un retour au calme ... jusqu'à ce que j'aperçoive un groupe d'une dizaine de cyclistes devant moi. J'ai profité d'un morceau de faux plat descendant pour me lancer à 55km/h et les doubler les dents serrées ... même en fin de sortie j'avais encore envie d'en découdre ! Vivement les courses !
Consultez le parcours.
Je vais vous faire vivre au quotidien ma passion pour le cyclisme à travers mes entraînements, les compétitions auxquelles je participe, mes différents défis, ...
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dimanche 28 février 2010
samedi 27 février 2010
Eole se déchaine
Malgré un avis de tempête, nous étions 4 cyclistes au rendez-vous du club ! Répondent présent à l'appel : Sébastien, Manu, le neveu de Sébastien et moi-même. Je ne suis pas apte à juger à partir de quel niveau de violence un vent est qualifié de tempête, mais je suis d'accord avec les météorologues pour affirmer que le vent était particulièrement fort cet après-midi !
Aujourd'hui j'ai eu une journée de moins bien : j'avais les jambes toutes molles, les muscles ne répondaient pas, le cardio était un petit peu haut par rapport à d'habitude, ... Vent dans le dos mon vélo avançait tout seul, j'étais impressionnant de facilité (j'ai fait un passage à 68km/h sur du plat, en caressant les pédales, sans forcer !). En revanche, quand le vent était de côté ou de face, j'ai été très performant au début mais j'ai rapidement montré mes limites : j'étais capable de suivre mais n'arrivais plus à assurer mes relais.
La sortie est tout de même positive : malgré la violence du vent de travers, je maitrisais plutôt bien mes cosmic et réussissais à tenir ma ligne. D'autre part, j'ai effectué une séance de fractionné : au début, vent favorable, je me mettais à bloc dans chaque petite bosse puis relâchait mon effort en haut ... jusqu'à la suivante. Les phases de relais vent défavorable m'ont également fait faire du fractionné, tout comme les quelques attaques de Manu. Je suis rentré chez moi bien entamé, je réussissais à enrouler sur le plat mais avait un peu de mal dès qu'il fallait forcer pour grimper.
Consultez le parcours.
Aujourd'hui j'ai eu une journée de moins bien : j'avais les jambes toutes molles, les muscles ne répondaient pas, le cardio était un petit peu haut par rapport à d'habitude, ... Vent dans le dos mon vélo avançait tout seul, j'étais impressionnant de facilité (j'ai fait un passage à 68km/h sur du plat, en caressant les pédales, sans forcer !). En revanche, quand le vent était de côté ou de face, j'ai été très performant au début mais j'ai rapidement montré mes limites : j'étais capable de suivre mais n'arrivais plus à assurer mes relais.
La sortie est tout de même positive : malgré la violence du vent de travers, je maitrisais plutôt bien mes cosmic et réussissais à tenir ma ligne. D'autre part, j'ai effectué une séance de fractionné : au début, vent favorable, je me mettais à bloc dans chaque petite bosse puis relâchait mon effort en haut ... jusqu'à la suivante. Les phases de relais vent défavorable m'ont également fait faire du fractionné, tout comme les quelques attaques de Manu. Je suis rentré chez moi bien entamé, je réussissais à enrouler sur le plat mais avait un peu de mal dès qu'il fallait forcer pour grimper.
Consultez le parcours.
mercredi 24 février 2010
Footing du 24 février
Pour mon footing hebdomadaire, j'ai choisi de varier un peu le parcours : j'ai voulu allonger la distance et augmenter la difficulté ... pour augmenter le temps.
J'ai profité de conditions très agréables : une température proche de 10°, un vent très léger, aucune circulation automobile, un ciel étoilé (avec néanmoins quelques nuages) ... et en prime un parcours offrant plusieurs points de vue plongeants sur la ville de Lyon toute illuminée. C'était vraiment beau à voir !
Physiquement parlant, j'ai ressenti des douleurs aux lombaires pendant le long kilomètre de montée soutenue (km 2 à km 3), puis la douleur s'est dissipée assez rapidement dans la descente. Je dois manquer de gainage. En dehors de ce souci, j'avais des jambes excellentes et un rythme cardiaque relativement bas, cependant j'avoue avoir fait une sortie de décontraction sans jamais forcer. J'ai cherché à me faire plaisir et à profiter au maximum de ces instants de tranquillité pour déstresser et faire le vide dans mes pensées.
J'ai profité de conditions très agréables : une température proche de 10°, un vent très léger, aucune circulation automobile, un ciel étoilé (avec néanmoins quelques nuages) ... et en prime un parcours offrant plusieurs points de vue plongeants sur la ville de Lyon toute illuminée. C'était vraiment beau à voir !
Physiquement parlant, j'ai ressenti des douleurs aux lombaires pendant le long kilomètre de montée soutenue (km 2 à km 3), puis la douleur s'est dissipée assez rapidement dans la descente. Je dois manquer de gainage. En dehors de ce souci, j'avais des jambes excellentes et un rythme cardiaque relativement bas, cependant j'avoue avoir fait une sortie de décontraction sans jamais forcer. J'ai cherché à me faire plaisir et à profiter au maximum de ces instants de tranquillité pour déstresser et faire le vide dans mes pensées.
dimanche 21 février 2010
Un vent à ne pas mettre un vélo dehors
Malgré un vent à ne pas mettre de cycliste sur le goudron, je suis allé rouler. Je suis allé jusque chez Sébastien afin d'y retrouver des coéquipiers : Bruno, Christian, Sébastien et Sylvain.
On a fait quelques kilomètres avec le vent dans le dos, je roulais sans aucune peine. On a tourné et pris le vent de travers en se cachant dans les bois : avec les cosmic, à chaque trouée je faisais des écarts, c'était galère mais supportable.
Le retour vent de face a été plus dur : nous étions véritablement scotchés au goudron par le vent ... même sur les faux plat descendant il fallait une véritable débauche d'énergie pour rouler à 24km/h ! J'ai mis en place quelques relais avec Sébastien, je n'étais pas dans le rouge mais je me suis bien mis à la planche quand même. J'ai senti que je manquais de puissance car cardiaquement je n'avais aucun problème.
Je suis rentré relativement frais de la sortie : cardiaquement tout allait bien, mais je sentais que musculairement j'étais juste.
Consultez le parcours ici.
On a fait quelques kilomètres avec le vent dans le dos, je roulais sans aucune peine. On a tourné et pris le vent de travers en se cachant dans les bois : avec les cosmic, à chaque trouée je faisais des écarts, c'était galère mais supportable.
Le retour vent de face a été plus dur : nous étions véritablement scotchés au goudron par le vent ... même sur les faux plat descendant il fallait une véritable débauche d'énergie pour rouler à 24km/h ! J'ai mis en place quelques relais avec Sébastien, je n'étais pas dans le rouge mais je me suis bien mis à la planche quand même. J'ai senti que je manquais de puissance car cardiaquement je n'avais aucun problème.
Je suis rentré relativement frais de la sortie : cardiaquement tout allait bien, mais je sentais que musculairement j'étais juste.
Consultez le parcours ici.
samedi 20 février 2010
De l'humidité, de la boue et des bosses
Aujourd'hui je suis allé rouler avec David : il est en phase de reprise de l'entrainement et fais un interclub demain donc il voulait faire une sortie ni trop longue ni trop intensive. On est allé rouler dans le beaujolais, c'était pour moi la deuxième sortie vallonnée de l'année (j'en avais déjà fait une le 2 janvier, avec 3 cols).
Durant la 1ère heure, nous avons subis les intempéries : des averses continues nous sont tombées sur le casque. Ensuite, les routes étaient trempées mais nous étions accompagnés par le soleil, ce qui est nettement plus agréable ! Les routes trempées sur les quelles nous avons roulé n'étaient pas très propre, nous avons roulés sur plusieurs passages recouverts de terre ... nos cuissards et notre dos sont subitement devenus marrons. La tenue est directement partie dans le coffre à linge en rentrant !
Le parcours qu'on a choisi n'était pas des plus faciles. La montée de Charnay est toujours exigeante, quel que soit le côté (en dehors de la route des crêtes venant de Lachassagne). Ensuite la pente en direction de Frontenas, Theizé et Ville sur jarnioux était plus abordable car moins pentue et entrecoupée de zones de récupération. J'ai profité de toutes ces phases de montée pour travailler un peu la force.
J'ai eu de bonnes sensations, les jambes tournaient plutôt bien. Sur la fin de la sortie j'ai eu un début de fringale (le frais, la pluie et l'oubli de ravitaillement solide), j'ai donc levé le pied et ai terminé tranquillement.
Consultez le parcours.
Durant la 1ère heure, nous avons subis les intempéries : des averses continues nous sont tombées sur le casque. Ensuite, les routes étaient trempées mais nous étions accompagnés par le soleil, ce qui est nettement plus agréable ! Les routes trempées sur les quelles nous avons roulé n'étaient pas très propre, nous avons roulés sur plusieurs passages recouverts de terre ... nos cuissards et notre dos sont subitement devenus marrons. La tenue est directement partie dans le coffre à linge en rentrant !
Le parcours qu'on a choisi n'était pas des plus faciles. La montée de Charnay est toujours exigeante, quel que soit le côté (en dehors de la route des crêtes venant de Lachassagne). Ensuite la pente en direction de Frontenas, Theizé et Ville sur jarnioux était plus abordable car moins pentue et entrecoupée de zones de récupération. J'ai profité de toutes ces phases de montée pour travailler un peu la force.
J'ai eu de bonnes sensations, les jambes tournaient plutôt bien. Sur la fin de la sortie j'ai eu un début de fringale (le frais, la pluie et l'oubli de ravitaillement solide), j'ai donc levé le pied et ai terminé tranquillement.
Consultez le parcours.
mercredi 17 février 2010
Footing du 17 février
Comme (presque) chaque mercredi soir, je suis allé faire un footing. J'ai une nouvelle fois emprunté mon nouveau parcours fétiche, comme les fois précédentes.
J'ai couru tranquillement tout le long, sauf l'avant dernier kilomètre que j'ai effectué à bloc, simplement pour me dégourdir les jambes. Les sensations étaient plutôt bonnes.
J'ai couru tranquillement tout le long, sauf l'avant dernier kilomètre que j'ai effectué à bloc, simplement pour me dégourdir les jambes. Les sensations étaient plutôt bonnes.
lundi 15 février 2010
Calendrier des courses 2010
Comme en 2009, je vous diffuse mon calendrier des courses que je vais effectuer cette année :
- 11/04/2010 : Prix de Villette sur ain (01)
- 25/04/2010 : Grand prix murois à St bonnet de mure (69)
- 16/05/2010 : Prix de Pont de vaux (01)
- 23/05/2010 : Grand prix de St clair de la tour (38)
- 05/06/1010 : Nocturne Corbasiènne (69 - UFOLEP)
- 27/06/2010 : Prix de Romanèche-thorins (69)
- 18/07/2010 : Prix de St denis les bourgs (01)
- 01/08/2010 : Prix de St trivier de courtes (01)
- 14/08/2010 : Prix de Romenay (71)
- 29/08/2010 : Prix de Chavannes sur reyssouze (01)
- 05/09/2010 : Prix de Chanoz-chatenay (01)
- 11/04/2010 : Prix de Villette sur ain (01)
- 25/04/2010 : Grand prix murois à St bonnet de mure (69)
- 16/05/2010 : Prix de Pont de vaux (01)
- 23/05/2010 : Grand prix de St clair de la tour (38)
- 05/06/1010 : Nocturne Corbasiènne (69 - UFOLEP)
- 27/06/2010 : Prix de Romanèche-thorins (69)
- 18/07/2010 : Prix de St denis les bourgs (01)
- 01/08/2010 : Prix de St trivier de courtes (01)
- 14/08/2010 : Prix de Romenay (71)
- 29/08/2010 : Prix de Chavannes sur reyssouze (01)
- 05/09/2010 : Prix de Chanoz-chatenay (01)
dimanche 14 février 2010
De la neige, encore et toujours
Un nouveau dimanche passé avec de mauvaises conditions météorologiques : du froid et des petites averses de neige (certes pas méchantes).
J'ai préféré ne pas aller rouler et rester au chaud pour me reposer.
J'ai préféré ne pas aller rouler et rester au chaud pour me reposer.
samedi 13 février 2010
Sortie de rythme
Je suis allé rouler avec Lionel. La température était négative, le ciel était gris et un léger vent frais soufflait. Le paysage était très particulier : tout était blanc, on avait l'impression de rouler dans un décor inconnu alors qu'on est resté tout le long sur des routes plus que traditionnelle pour nous deux. Les étangs (et les fossés) étaient également complètement pris par la glace
Les animaux étaient regroupés en meutes : on est passé au milieu d'un groupe immense de corbeaux, je n'aurai jamais pu imaginer qu'un regroupement de cette taille là pouvait exister (je dirai au moins 500 corbeaux en une seule bande !), et on a aperçu dans un champ un troupeau de cerfs/biches/chevreuil composé d'une vingtaine d'individus ... ça nous a paru irréel !
Pour aborder l'aspect sportif de l'entraînement, je dirai qu'on a effectué une sortie de rythme. Après 15km d'échauffement en commun, on a progressivement augmenté le rythme : je ne connais pas ses motivations, mais à titre personnel je voulais me forcer à passer chaque talus en sur-régime et (surtout) à prolonger mon effort une fois ledit talus franchi. Il faut savoir que souvent la décision dans une course ne se fait non pas dans la montée d'une bosse mais bien dans la capacité de relancer immédiatement une fois la bosse franchie, sans prendre le temps de récupérer ... dans 2 mois je reprendrai les courses et il va bientôt être temps de commencer les choses sérieuses. J'ai juste pris un peu d'avance.
Après 10km légèrement soutenus, en étant juste en prise avec l'effort, Lionel a proposé de faire un passage à fond en prenant des relais : pendant 15km on s'est mis à la planche, ne comptant pas nos efforts pour maintenir une vitesse élevée. A titre personnel, j'avais les jambes qui me brulaient et le coeur à plus de 175 sur chacun de mes relais : je n'ai pas fait semblant de m'entrainer ! A la fin de l'effort, j'étais content que ca s'arrête, mais curieusement le mal aux jambes à disparu quasiment instantanément, et mon rythme cardiaque est revenu à la normale très rapidement. Ce décrassage de moteur correspond quasiment au premier tiers d'une course FFC du point de vue de la vitesse et de l'effort.
Lionel, plus en forme que moi, a ensuite maintenu un niveau d'effort un peu élevé : je l'ai laissé faire le gros du travail et venais régulièrement lui prendre des relais "de principe" moins appuyés que les siens. J'ai agi ainsi car j'ai eu un coup de moins bien, en partie lié au fait que mon bidon ayant complètement gelé (contrairement au sien) je ne pouvais plus me ravitailler en eau ... quand on tente de maintenir un tel niveau d'effort emmitouflé dans de gros habits très chauds, la déshydratation se fait vite sentir.
Je suis satisfait de ma sortie : j'ai été très entreprenant et j'ai réussi à maintenir un niveau d'effort élevé, plus élevé que ce que je pensais être en mesure de faire. Ca fait du bien au moral et ca me rassure : ma forme semble être plutôt bonne, surtout par rapport aux années précédentes à la même époque ...
Consultez le parcours.
Les animaux étaient regroupés en meutes : on est passé au milieu d'un groupe immense de corbeaux, je n'aurai jamais pu imaginer qu'un regroupement de cette taille là pouvait exister (je dirai au moins 500 corbeaux en une seule bande !), et on a aperçu dans un champ un troupeau de cerfs/biches/chevreuil composé d'une vingtaine d'individus ... ça nous a paru irréel !
Pour aborder l'aspect sportif de l'entraînement, je dirai qu'on a effectué une sortie de rythme. Après 15km d'échauffement en commun, on a progressivement augmenté le rythme : je ne connais pas ses motivations, mais à titre personnel je voulais me forcer à passer chaque talus en sur-régime et (surtout) à prolonger mon effort une fois ledit talus franchi. Il faut savoir que souvent la décision dans une course ne se fait non pas dans la montée d'une bosse mais bien dans la capacité de relancer immédiatement une fois la bosse franchie, sans prendre le temps de récupérer ... dans 2 mois je reprendrai les courses et il va bientôt être temps de commencer les choses sérieuses. J'ai juste pris un peu d'avance.
Après 10km légèrement soutenus, en étant juste en prise avec l'effort, Lionel a proposé de faire un passage à fond en prenant des relais : pendant 15km on s'est mis à la planche, ne comptant pas nos efforts pour maintenir une vitesse élevée. A titre personnel, j'avais les jambes qui me brulaient et le coeur à plus de 175 sur chacun de mes relais : je n'ai pas fait semblant de m'entrainer ! A la fin de l'effort, j'étais content que ca s'arrête, mais curieusement le mal aux jambes à disparu quasiment instantanément, et mon rythme cardiaque est revenu à la normale très rapidement. Ce décrassage de moteur correspond quasiment au premier tiers d'une course FFC du point de vue de la vitesse et de l'effort.
Lionel, plus en forme que moi, a ensuite maintenu un niveau d'effort un peu élevé : je l'ai laissé faire le gros du travail et venais régulièrement lui prendre des relais "de principe" moins appuyés que les siens. J'ai agi ainsi car j'ai eu un coup de moins bien, en partie lié au fait que mon bidon ayant complètement gelé (contrairement au sien) je ne pouvais plus me ravitailler en eau ... quand on tente de maintenir un tel niveau d'effort emmitouflé dans de gros habits très chauds, la déshydratation se fait vite sentir.
Je suis satisfait de ma sortie : j'ai été très entreprenant et j'ai réussi à maintenir un niveau d'effort élevé, plus élevé que ce que je pensais être en mesure de faire. Ca fait du bien au moral et ca me rassure : ma forme semble être plutôt bonne, surtout par rapport aux années précédentes à la même époque ...
Consultez le parcours.
mercredi 10 février 2010
Ventoux Night Session
Aujourd'hui, grâce au blog d'un lecteur (François), j'ai découvert qu'une grimpée nocturne du Mont Ventoux était prévue pour le mois de juin !
J'avais participé en juillet à la grimpée nocturne du col de l'izoard : j'avais adoré le concept, faire du vélo de nuit en toute sécurité est extrêmement sympathique ! Les sensations sont vraiment différentes par rapport au vélo de jour : ce ne sont plus nos yeux qui nous guident le chemin à suivre ou la difficulté de la pente à venir, nous sommes désormais guidés par nos sens et notre intuition ! On ne voit pas la pente qu'on grimpe : 7% ? 9% ? Combien de kilomètres encore ? Nos yeux ne nous sont d'aucune utilité, seuls nos sens répondent aux questions qu'on se pose ...
Je pense que le week-end du 12 et 13 juin je ne ferai pas de course, je serai probablement en Provence à grimper des cols ! Pour en savoir plus, visitez le site de la Ventoux Night Session.
J'avais participé en juillet à la grimpée nocturne du col de l'izoard : j'avais adoré le concept, faire du vélo de nuit en toute sécurité est extrêmement sympathique ! Les sensations sont vraiment différentes par rapport au vélo de jour : ce ne sont plus nos yeux qui nous guident le chemin à suivre ou la difficulté de la pente à venir, nous sommes désormais guidés par nos sens et notre intuition ! On ne voit pas la pente qu'on grimpe : 7% ? 9% ? Combien de kilomètres encore ? Nos yeux ne nous sont d'aucune utilité, seuls nos sens répondent aux questions qu'on se pose ...
Je pense que le week-end du 12 et 13 juin je ne ferai pas de course, je serai probablement en Provence à grimper des cols ! Pour en savoir plus, visitez le site de la Ventoux Night Session.
mardi 9 février 2010
Sous la neige
Comme toutes les personnes se rendant à pied, en roller, en skateboard, ... ou en vélo sur leur lieu de travail, j'ai été victime des intempéries.
Ce matin, j'ai fait 4km de descente sous une neige me cinglant le visage. La neige n'accrochant pas encore au goudron, les routes étaient mouillées mais pas spécialement glissantes.
Ce soir, rebelote : 4km de montée pour rentrer chez moi, sous une neige heureusement moins intense ... mais accrochant parfaitement au goudron. Toute la montée était enneigée, ma roue arrière patinait très légèrement, mais je n'avais aucun problème pour rouler en ligne droite car ma roue avant ne fuyait pas (contrairement à mon passage sur verglas il y a 10 jours).
Vivement le retour du beau temps, que je puisse aller travailler et m'entraîner dans de meilleures conditions !
Ce matin, j'ai fait 4km de descente sous une neige me cinglant le visage. La neige n'accrochant pas encore au goudron, les routes étaient mouillées mais pas spécialement glissantes.
Ce soir, rebelote : 4km de montée pour rentrer chez moi, sous une neige heureusement moins intense ... mais accrochant parfaitement au goudron. Toute la montée était enneigée, ma roue arrière patinait très légèrement, mais je n'avais aucun problème pour rouler en ligne droite car ma roue avant ne fuyait pas (contrairement à mon passage sur verglas il y a 10 jours).
Vivement le retour du beau temps, que je puisse aller travailler et m'entraîner dans de meilleures conditions !
dimanche 7 février 2010
Nouvelle version de mon site sur les cols
Je viens d'ouvrir la nouvelle version de mon site consacré aux cols en cyclisme.
Cette version n'est pas encore complète : il manque encore toute la zone membres (inscription, saisie des cols qu'on a grimpé, affichage de son temps aux autres membres, ...) et le forum. Ces modules apparaitront au cours de la semaine si j'ai du temps, ou le week-end prochain.
Cette version n'est pas encore complète : il manque encore toute la zone membres (inscription, saisie des cols qu'on a grimpé, affichage de son temps aux autres membres, ...) et le forum. Ces modules apparaitront au cours de la semaine si j'ai du temps, ou le week-end prochain.
samedi 6 février 2010
Sortie de plus de 100km
Je viens de faire ma première sortie de l'année dépassant les 100 kilomètres. J'étais avec Sébastien et Manu : Sébastien et moi discutions devant, Manu est resté sagement dans les roues. Le temps étant gris avec des petites averses de pluie, sans vent, on a roulé au train pour faire du foncier (et non pour faire du rythme) : le fait d'être resté devant ne nous a pas pénalisés (ou alors je serai en grande forme sans m'en être rendu compte).
J'ai profité de cette sortie sur les longues lignes droites presque plates de la Dombes pour travailler la force. Je me suis mis sur le 52x13 et j'ai enroulé ... sur une phase de 10km puis une phase de 15km.
Consultez le parcours.
J'ai profité de cette sortie sur les longues lignes droites presque plates de la Dombes pour travailler la force. Je me suis mis sur le 52x13 et j'ai enroulé ... sur une phase de 10km puis une phase de 15km.
Consultez le parcours.
mercredi 3 février 2010
Footing du 03 février
J'ai effectué mon footing sur le même parcours que la semaine dernière : la distance me semble appropriée, les routes sont tranquilles (loin de la circulation), ...
Je me suis senti plutôt bien, j'avais une bonne foulée. Au bout de 4km j'ai commencé à avoir des courbatures (pas des crampes) : je pense que je devais être légèrement déshydraté et que je mes oublis récurrents au niveau des étirements se sont fait sentir.
Je me suis senti plutôt bien, j'avais une bonne foulée. Au bout de 4km j'ai commencé à avoir des courbatures (pas des crampes) : je pense que je devais être légèrement déshydraté et que je mes oublis récurrents au niveau des étirements se sont fait sentir.
mardi 2 février 2010
Statistiques du mois de Janvier 2010
En nouveauté cette année, je vous propose de faire mensuellement un bilan chiffré du mois écoulé.
Nombre de sorties :
- 8 entraînements sur route
- 0 courses
- 2 footings
Distances / Temps :
- 531,2 km sur route
- 18h 50min passé sur la selle
- 14,5 km de footing
Rythme cardiaque / Cadence :
- 12759kcal dépensées
- 145 bpm en moyenne
- 184 bpm au maximum
- 90 rpm en moyenne
- 169 rpm au maximum
Petit bilan :
La forme n'est pas encore au rendez-vous, mais les dernières sorties et ma courbe cardiaque au repos indiquent un début de regain de forme. Ce ne sont que des premiers signes, je suis encore très loin de mon meilleur niveau. La cadence est un peu basse par rapport à mes valeurs habituelles en raison du travail de la force.
NB : il s'agit d'un bilan à chaud, qui pourra être réfuté dans quelques mois après une analyse avec du recul.
Nombre de sorties :
- 8 entraînements sur route
- 0 courses
- 2 footings
Distances / Temps :
- 531,2 km sur route
- 18h 50min passé sur la selle
- 14,5 km de footing
Rythme cardiaque / Cadence :
- 12759kcal dépensées
- 145 bpm en moyenne
- 184 bpm au maximum
- 90 rpm en moyenne
- 169 rpm au maximum
Petit bilan :
La forme n'est pas encore au rendez-vous, mais les dernières sorties et ma courbe cardiaque au repos indiquent un début de regain de forme. Ce ne sont que des premiers signes, je suis encore très loin de mon meilleur niveau. La cadence est un peu basse par rapport à mes valeurs habituelles en raison du travail de la force.
NB : il s'agit d'un bilan à chaud, qui pourra être réfuté dans quelques mois après une analyse avec du recul.
lundi 1 février 2010
Quand on aime le vélo ...
... on mange dans des assiettes qui nous rappellent notre passion !
Ces assiettes en porcelaine ont été peintes par ma grand-mère, elles montrent l'évolution du matériel. J'en ai de la chance !
Ces assiettes en porcelaine ont été peintes par ma grand-mère, elles montrent l'évolution du matériel. J'en ai de la chance !