Aujourd'hui, en rentrant du travail sur mon fidèle compagnon à 2 roues, j'ai été une nouvelle fois victime d'un acte d'incivilité ... mais pour une fois il s'agit d'une incivilité juvénile.
Je circulais à vélo dans les rues de Couzon, largement assez large pour que 2 voitures se croisent, donc une voiture et un vélo ne rencontrent pas le moindre soucis. Je croise un gros 4x4 Mercèdes gris et constate de loin que la passagère à l'arrière est penchée par la fenêtre et joue avec un truc vert fluo (couleur remarquable de loin) qu'elle tient dans ses mains. Idiot comme je suis, et perdu dans mes pensées, je ne sens pas venir le danger et ce qui devait arriver arriva : la gamine a pris ma tête pour une balle de golf et le parapluie vert fluo qu'elle tenait dans la main lui a servi de club ...j'ai esquivé de justesse le coup en faisant un écart au dernier moment mais elle aurait pu me faire bien mal !
Ce qui me rends le plus dingue dans l'histoire, c'est l'inconscience de la mère qui a laissé sa fille sans ceinture de sécurité à l'arrière du véhicule, qui l'a laissée en plus se pencher par la fenêtre jusqu'au nombril ... et la laissait jouer avec un parapluie. Supposons un freinage d'urgence ou un simple ralentisseur : la gamine bascule par la fenêtre et se retrouve sous les roues ... il faut vraiment être inconsciente pour laisser faire une chose pareil !
Je vais vous faire vivre au quotidien ma passion pour le cyclisme à travers mes entraînements, les compétitions auxquelles je participe, mes différents défis, ...
lundi 31 mai 2010
samedi 29 mai 2010
Beaujolais avec David
Ne courant pas demain, je suis allé effectuer une sortie bosselée dans le beaujolais en compagnie de David. Ayant rempli puis transporté un vingtaine de brouettes de terre le matin, j'avais mal aux jambes et au bras ... mon rendement aussi bien dans les bosses que sur le plat était un peu en dessous de ce dont j'ai l'habitude. David m'a paru en excellente condition : aérien dans les bosses, ses dernières accélérations sur nos relais en fin de sortie m'ont fait vraiment mal !
Au niveau du temps, les conditions étaient plutôt agréables malgré quelques nuages : la température était douce et le vent était faible. Les paysages sur les routes empruntées étaient toujours aussi beau que d'habitude.
Au niveau du temps, les conditions étaient plutôt agréables malgré quelques nuages : la température était douce et le vent était faible. Les paysages sur les routes empruntées étaient toujours aussi beau que d'habitude.
mardi 25 mai 2010
Grimpée de la Croix Vitaise
Je suis allé rouler avec Julien. Afin de rouler sur un parcours protégé de l'abondant vent du sud, nous avons effectué la montée de la croix vitaise : les pourcentages y sont toujours aussi raides par endroits mais heureusement elle n'est pas longue.
lundi 24 mai 2010
Décrassage
Après avoir travaillé ma journée de solidarité, je suis allé rouler en début de soirée avec Julien et Florian. Je voulais faire un décrassage tranquille d'une heure pour évacuer les toxines du GP de St clair de la tour ... au final on a passé la majorité de la sortie à 35km/h sous l'impulsion de Florian qui relançait sans cesse l'allure.
J'ai pris de timides relais pendant la moitié de la sortie, puis je me suis calé dans les roues : non seulement en prenant des relais à cette vitesse je ne me décrassais pas, mais en plus j'avais mal aux jambes et j'étais dans le dur constamment.
J'ai pris de timides relais pendant la moitié de la sortie, puis je me suis calé dans les roues : non seulement en prenant des relais à cette vitesse je ne me décrassais pas, mais en plus j'avais mal aux jambes et j'étais dans le dur constamment.
dimanche 23 mai 2010
GP de St clair de la tour : avec les jambes et la tête
Ce midi se tenait le GP de St clair de la tour. Nous étions une cinquantaine au départ de l'épreuve Pass'Cyclisme, qui s'est tenu sous un grand soleil permettant d'affiner notre bronzage et une température idéale pour la pratique du cyclisme en plein air.
Dans le premier tour, quelques attaques se succèdent : je traine en queue de peloton et préfère attendre un peu avant de livrer mes forces dans la bataille. Néanmoins, au pied de la bosse finale (à emprunter à 11 reprises) je remonte me placer dans les premières positions du peloton afin de ne pas me faire coincer par des coureurs en difficulté. Je me place donc dans les 10 premières positions et j'attends, comme à peu près tout le monde, ce qui fait que cette première montée est grimpée sur un rythme normal.
En haut de la bosse, dans le début le 2ème tour, quelques attaques fusent et je décide de tenter ma chance à 2 reprises : mes attaques sur cette portion de faux plat sont lentes et prévisibles, je ne gicle pas, mais parviens néanmoins à faire le trou car le peloton ne réagit pas. Les deux fois, je temporise après avoir pris une vingtaine de mètres pour attendre le retour d'autres attaquants puis me relève car personne ne bouge dans mon dos. Je me recale dans les roues et décide de changer de stratégie : je choisi de suivre les attaques et non plus de les créer. Du coup, je me retrouve régulièrement à rouler pour étirer le peloton du fait de ma présence à l'avant à faire le forcing pour sortir.
Dans le 3ème tour, deux coureurs sortent "en facteur", personne n'y prête réellement attention. Pour ma part, je remonte me placer à l'avant et tente de suivre des contres mais à chaque fois le peloton réagit et ne nous laisse pas partir ... sans revenir pour autant sur les 2 éclaireurs, qui vont avoir du mal à creuser le trou.
Dans le 4ème tour, même schéma : les 2 coureurs de tête semblent à portée de fusil mais aucun contre ne réussit à sortir. Je décide de me contenter de suivre de l'arrière car je me rends compte que les contres sont systématiquement repris. Pas de chance, un groupe de 4 finira par sortir en bataillant dur pour prendre du champ ... sans moi.
Dans le 5ème tour et le 6ème tour, j'éprouve comme beaucoup le besoin de souffler. Ces 2 tours seront plutôt lent, tout le monde s'observant, et les rares attaquants plaçant des démarrages sans réelle ambition. Je traine en queue de ce qui reste du peloton : nous devons être un quinzaine à jouer la 7ème place. Cette temporisation permettra aux 2 groupes d'échappés (2 en tête, 4 en chasse) de prendre une confortable avance de respectivement 3 et 2 minutes ! Le break est fait !
Dans le 7ème, 8ème et 9ème tour un groupe de 5 coureurs prends le large : je peste car mal placé dans la bosse je ne suis pas présent dedans au moment où il est parti. Ce groupe prends rapidement une vingtaine de secondes avant que la chasse ne s'organise derrière. Je participe à la chasse, histoire de ne pas rester inactif : lors des 3 passages de la bosse nous sommes 4 ou 5 à nous détacher mais à chaque fois on ne s'entend pas et le peloton nous revient dessus.
Dans la 10ème et avant-dernière montée, 4 coureurs très actifs jusqu'à présent se détachent. Vigilant je sens le danger et suis le mouvement avec un tout petit temps de retard : une dizaine de mètres. Je me mets à plat ventre sans hésiter : je remarque lors de chaque coup d'oeil que le peloton est désorganisé et que le trou se creuse. Dès mon retour sur les 4 attaquants je leur crie "allez les gars, on ne se pose pas de questions, on y va" et je prends un long relais appuyé pour montrer mon envie de collaborer. Notre entente est parfaite, chacun prends de bon coeur son relais, je sens que je suis parfois un peu juste mais m'accroche.
A 5km de l'arrivée, je note qu'on a fait un trou d'une trentaine de secondes sur le peloton et un groupe de 3 (des 5 attaquants du 7ème tour) est à portée de fusil. Je remarque que les autres passent des relais beaucoup moins appuyés et fais de même : notre avance sur le peloton est suffisante pour aller au bout tous les 5, et je ne souhaite donc pas emmener mes compagnons de fugue dans un fauteuil. On rattrape 2 des 3 coureurs intercalés au milieu de la bosse finale, nous en sommes donc à nous disputer la 9ème place (2 en tête, 4 en poursuite 1, 2 en poursuite 2). Je prends la 2ème place de ce sprint en bosse et termine donc 10ème.
Je suis amplement satisfait de ma course : j'ai couru avec les jambes et surtout avec la tête. J'estime avoir fait des efforts quand il le fallait : des attaques inutiles au début, une participation régulière à la poursuite sans trop en faire au milieu, la participation intelligente et dosée à l'échappée dans le dernier tour. Bref, de quoi repartir avec le sourire.
Dans le premier tour, quelques attaques se succèdent : je traine en queue de peloton et préfère attendre un peu avant de livrer mes forces dans la bataille. Néanmoins, au pied de la bosse finale (à emprunter à 11 reprises) je remonte me placer dans les premières positions du peloton afin de ne pas me faire coincer par des coureurs en difficulté. Je me place donc dans les 10 premières positions et j'attends, comme à peu près tout le monde, ce qui fait que cette première montée est grimpée sur un rythme normal.
En haut de la bosse, dans le début le 2ème tour, quelques attaques fusent et je décide de tenter ma chance à 2 reprises : mes attaques sur cette portion de faux plat sont lentes et prévisibles, je ne gicle pas, mais parviens néanmoins à faire le trou car le peloton ne réagit pas. Les deux fois, je temporise après avoir pris une vingtaine de mètres pour attendre le retour d'autres attaquants puis me relève car personne ne bouge dans mon dos. Je me recale dans les roues et décide de changer de stratégie : je choisi de suivre les attaques et non plus de les créer. Du coup, je me retrouve régulièrement à rouler pour étirer le peloton du fait de ma présence à l'avant à faire le forcing pour sortir.
Dans le 3ème tour, deux coureurs sortent "en facteur", personne n'y prête réellement attention. Pour ma part, je remonte me placer à l'avant et tente de suivre des contres mais à chaque fois le peloton réagit et ne nous laisse pas partir ... sans revenir pour autant sur les 2 éclaireurs, qui vont avoir du mal à creuser le trou.
Dans le 4ème tour, même schéma : les 2 coureurs de tête semblent à portée de fusil mais aucun contre ne réussit à sortir. Je décide de me contenter de suivre de l'arrière car je me rends compte que les contres sont systématiquement repris. Pas de chance, un groupe de 4 finira par sortir en bataillant dur pour prendre du champ ... sans moi.
Dans le 5ème tour et le 6ème tour, j'éprouve comme beaucoup le besoin de souffler. Ces 2 tours seront plutôt lent, tout le monde s'observant, et les rares attaquants plaçant des démarrages sans réelle ambition. Je traine en queue de ce qui reste du peloton : nous devons être un quinzaine à jouer la 7ème place. Cette temporisation permettra aux 2 groupes d'échappés (2 en tête, 4 en chasse) de prendre une confortable avance de respectivement 3 et 2 minutes ! Le break est fait !
Dans le 7ème, 8ème et 9ème tour un groupe de 5 coureurs prends le large : je peste car mal placé dans la bosse je ne suis pas présent dedans au moment où il est parti. Ce groupe prends rapidement une vingtaine de secondes avant que la chasse ne s'organise derrière. Je participe à la chasse, histoire de ne pas rester inactif : lors des 3 passages de la bosse nous sommes 4 ou 5 à nous détacher mais à chaque fois on ne s'entend pas et le peloton nous revient dessus.
Dans la 10ème et avant-dernière montée, 4 coureurs très actifs jusqu'à présent se détachent. Vigilant je sens le danger et suis le mouvement avec un tout petit temps de retard : une dizaine de mètres. Je me mets à plat ventre sans hésiter : je remarque lors de chaque coup d'oeil que le peloton est désorganisé et que le trou se creuse. Dès mon retour sur les 4 attaquants je leur crie "allez les gars, on ne se pose pas de questions, on y va" et je prends un long relais appuyé pour montrer mon envie de collaborer. Notre entente est parfaite, chacun prends de bon coeur son relais, je sens que je suis parfois un peu juste mais m'accroche.
A 5km de l'arrivée, je note qu'on a fait un trou d'une trentaine de secondes sur le peloton et un groupe de 3 (des 5 attaquants du 7ème tour) est à portée de fusil. Je remarque que les autres passent des relais beaucoup moins appuyés et fais de même : notre avance sur le peloton est suffisante pour aller au bout tous les 5, et je ne souhaite donc pas emmener mes compagnons de fugue dans un fauteuil. On rattrape 2 des 3 coureurs intercalés au milieu de la bosse finale, nous en sommes donc à nous disputer la 9ème place (2 en tête, 4 en poursuite 1, 2 en poursuite 2). Je prends la 2ème place de ce sprint en bosse et termine donc 10ème.
Je suis amplement satisfait de ma course : j'ai couru avec les jambes et surtout avec la tête. J'estime avoir fait des efforts quand il le fallait : des attaques inutiles au début, une participation régulière à la poursuite sans trop en faire au milieu, la participation intelligente et dosée à l'échappée dans le dernier tour. Bref, de quoi repartir avec le sourire.
samedi 22 mai 2010
Déblocage à la veille du prix de St clair de la tour
Je suis allé effectuer un déblocage en compagnie de Félix et Hippolyte. J'ai bien tourné les jambes, j'ai notamment tenté de me débloquer la cheville et le quadriceps de la jambe droite qui sont "bloqués" depuis lundi !
J'ai effectué des petites phases en hypervélocité entre 130 et 140tr/min afin de me débloquer. Le coeur est monté jusqu'à 173 et à plafonné à cette valeur assez basse (pour moi). J'espère que demain il sera en mesure de monter plus haut sinon je vais me faire sortir du peloton à la première attaque !
J'ai effectué des petites phases en hypervélocité entre 130 et 140tr/min afin de me débloquer. Le coeur est monté jusqu'à 173 et à plafonné à cette valeur assez basse (pour moi). J'espère que demain il sera en mesure de monter plus haut sinon je vais me faire sortir du peloton à la première attaque !
jeudi 20 mai 2010
Sortie avec Julien et Florian
Nouvel entraînement rapide au milieu des travaux : mes 2 compagnons du jour ont été Julien et Florian. Je me sentais bien et n'ai pas hésité à mettre le turbo par moments pour me dérouiller les jambes.
mercredi 19 mai 2010
25km avec Julien
Je n'ai pas eu beaucoup de temps pour rouler aujourd'hui : entre mon déménagement (ça y est, je vis dans mon propre chez moi) en début d'après-midi, l'assistance du couvreur en milieu d'après-midi et un repas prévu chez David en début de soirée, je n'ai disposé que d'une heure pour rouler.
Je suis allé rouler en compagnie de Julien. On est monté tranquillement au col de la Croix de Presles par Vaise avant de redescendre par Poleymieux. Le retour sur les quais avec un gros vent favorable était exquis !
Je suis allé rouler en compagnie de Julien. On est monté tranquillement au col de la Croix de Presles par Vaise avant de redescendre par Poleymieux. Le retour sur les quais avec un gros vent favorable était exquis !
mardi 18 mai 2010
50km avec David
Je suis allé rouler entre 12h et 14h en compagnie de David. Etant donné que le vent soufflait abondamment en provenance du nord, nous nous sommes planqués dans les Monts d'Or afin d'atténuer l'effet mesquin d'Eole.
On a donc fait 50km en discutant : à l'origine nous devions faire une sortie de récupération mais la première moitié n'a pas été très relaxante à cause du vent et de la pente ! Sur le retour, nous avons en revanche pu récupérer tranquillement en tournant les jambes grâce à l'aide du vent.
Une bonne petite sortie, à refaire ! NB : j'avais de sévères courbatures de ma course de dimanche, alors que je n'ai fait que 40min d'efforts ... curieux !
On a donc fait 50km en discutant : à l'origine nous devions faire une sortie de récupération mais la première moitié n'a pas été très relaxante à cause du vent et de la pente ! Sur le retour, nous avons en revanche pu récupérer tranquillement en tournant les jambes grâce à l'aide du vent.
Une bonne petite sortie, à refaire ! NB : j'avais de sévères courbatures de ma course de dimanche, alors que je n'ai fait que 40min d'efforts ... curieux !
lundi 17 mai 2010
Tour du silence - Ride of silence
J'ai découvert ce week-end une manifestation surprenante : le Tour du silence. Il s'agit de la francisation par nos cousins québécois du Ride of Silence, une sortie qui a lieu partout dans le monde chaque 3ème mercredi du mois de mai depuis 2003.
Le but de cette sortie ? C'est de rouler en mémoire de tous ceux qui sont morts sur leur vélo.
Pour en savoir plus sur l'évènement je vous invite à lire cet article de la fédération cycliste du Québec.
J'ai cherché rapidement sur internet et n'ai trouvé aucun regroupement en France mercredi 19 ! Il y a des regroupements annoncés en Australie, en Bolivie, au Brésil, au Canada, en Colombie, en Espagne, dans les Emirats Arabes Unis, en Grèce, en Malaisie, au Mexique, à Singapour, ... mais pas en France ! Surprenant !
Pour ma part j'irai rouler l'après-midi : si vous êtes dans la proximité nord de Lyon pourquoi ne pas nous rassembler ?
Le but de cette sortie ? C'est de rouler en mémoire de tous ceux qui sont morts sur leur vélo.
Pour en savoir plus sur l'évènement je vous invite à lire cet article de la fédération cycliste du Québec.
J'ai cherché rapidement sur internet et n'ai trouvé aucun regroupement en France mercredi 19 ! Il y a des regroupements annoncés en Australie, en Bolivie, au Brésil, au Canada, en Colombie, en Espagne, dans les Emirats Arabes Unis, en Grèce, en Malaisie, au Mexique, à Singapour, ... mais pas en France ! Surprenant !
Pour ma part j'irai rouler l'après-midi : si vous êtes dans la proximité nord de Lyon pourquoi ne pas nous rassembler ?
dimanche 16 mai 2010
Crevaison au prix de Pont de vaux
L'an dernier, la course de Pont de vaux constituait ma 8ème course. Cette année, elle n'occupe que la 3ème position : j'ai décidé de ne pas faire le début de saison afin de me concentrer sur l'aménagement de mon nouveau chez moi.
Nous sommes 24 au départ cette année, alors que nous étions au moins le double l'an passé. Je veux bien comprendre qu'il ne faisait pas très beau, que la course était le matin, ... mais c'était également le cas l'an passé ! Ou sont passé les coureurs ? Au fil des années nous sommes de moins en moins nombreux : je me souviens qu'il y a 3 ans nous étions plus de 120 au départ de chaque course, j'ai même eu le cas où des coureurs étaient refusés car la limite de 200 avait été atteinte. Autrefois une place dans les 20 était synonyme de bon résultat ... quand on est 24 au départ, quelle est la valeur d'une 20ème place ? Mais bon, pour finir dans les 20 premiers, encore faut-il franchir la ligne d'arrivée.
Après un échauffement en compagnie de Félix, je prends le départ en 1ère ligne grâce à mon dossard numéro 3. Il y a comme d'habitude des tentatives d'attaque dès le départ : je laisse faire et reste sagement dans les roues. Ma tactique était simple : attendre la mi-course pour me découvrir, SAUF si une échappée de 5 commençait à se former. Sur les 3 premiers tours de course, je reste placé dans les premières positions, prends deux ou trois relais tranquilles en tête de groupe, participe à un contre que j'estimais potentiellement dangereux ... et laisse les autres attaquer. Les coureurs les plus actifs sont un gars de Bellevile, un gars de Grièges, un gars de Charvieux ... et Félix !
Dans le 4ème tour, à la mi-course, je me déconcentre complètement et me fais lâcher "par inattention", m'obligeant à un gros effort pour combler un trou d'une cinquantaine de mètres à un moment d'intense bagarre. Tout juste rentré, je remonte directement dans les premières positions, observe que 4 coureurs sont en train de se faire la belle donc j'attaque en compagnie d'un gars du BAC pour les rejoindre. Le peloton nous rejoindra au bout d'un km de fugue car on n'a pas cherché à s'entendre et qu'on s'est tous regardé. A 6 sur 24 avec 4 tours à couvrir, c'était une bonne opportunité, dommage !
Dans le 5ème tour je suis victime d'une crevaison rapide dans la partie sinueuse de la route : suite à un récent orage la route était gravillonneuse et présentait quelques trous et une tranchée. Je suis contraint de faire 4km sur la jante pour revenir réparer. Deux choix se sont présentés à moi :
- soit continuer à fond sur la jante afin de perdre le moins de temps possible, réparer et repartir avec les cadets ... mais abimer mes cosmic qui sont en excellent état
- soit rentrer tranquillement en faisant attention à ma jante, et abandonner car je n'aurai pas le temps de réparer avant le passage du peloton
J'ai choisi la 2ème solution. Il s'agit donc de ma 2ème crevaison en course mais de mon premier abandon sur crevaison : la dernière fois j'avais pu repartir rapidement et bénéficier d'un tour de rendu.
Je suis déçu car j'avais de bonnes sensations et qu'être contraint à l'abandon sur problème mécanique est toujours rageant. Je suis déçu car j'étais assuré de terminer dans les 20 étant donné qu'il y avait déjà un coureur ayant crevé et 3 coureurs lâchés. (A prendre sur le ton de l'humour). Je suis déçu car le sprint final me convient bien et que j'aurais pu y tirer mon épingle du jeu. En tout cas, chapeau au vainqueur : le coureur de Belleville, très actif depuis le début de la course, s'est isolé en solitaire à 2 tours de l'arrivée pour remporter la course de fort belle manière. Chapeau.
Nous sommes 24 au départ cette année, alors que nous étions au moins le double l'an passé. Je veux bien comprendre qu'il ne faisait pas très beau, que la course était le matin, ... mais c'était également le cas l'an passé ! Ou sont passé les coureurs ? Au fil des années nous sommes de moins en moins nombreux : je me souviens qu'il y a 3 ans nous étions plus de 120 au départ de chaque course, j'ai même eu le cas où des coureurs étaient refusés car la limite de 200 avait été atteinte. Autrefois une place dans les 20 était synonyme de bon résultat ... quand on est 24 au départ, quelle est la valeur d'une 20ème place ? Mais bon, pour finir dans les 20 premiers, encore faut-il franchir la ligne d'arrivée.
Après un échauffement en compagnie de Félix, je prends le départ en 1ère ligne grâce à mon dossard numéro 3. Il y a comme d'habitude des tentatives d'attaque dès le départ : je laisse faire et reste sagement dans les roues. Ma tactique était simple : attendre la mi-course pour me découvrir, SAUF si une échappée de 5 commençait à se former. Sur les 3 premiers tours de course, je reste placé dans les premières positions, prends deux ou trois relais tranquilles en tête de groupe, participe à un contre que j'estimais potentiellement dangereux ... et laisse les autres attaquer. Les coureurs les plus actifs sont un gars de Bellevile, un gars de Grièges, un gars de Charvieux ... et Félix !
Dans le 4ème tour, à la mi-course, je me déconcentre complètement et me fais lâcher "par inattention", m'obligeant à un gros effort pour combler un trou d'une cinquantaine de mètres à un moment d'intense bagarre. Tout juste rentré, je remonte directement dans les premières positions, observe que 4 coureurs sont en train de se faire la belle donc j'attaque en compagnie d'un gars du BAC pour les rejoindre. Le peloton nous rejoindra au bout d'un km de fugue car on n'a pas cherché à s'entendre et qu'on s'est tous regardé. A 6 sur 24 avec 4 tours à couvrir, c'était une bonne opportunité, dommage !
Dans le 5ème tour je suis victime d'une crevaison rapide dans la partie sinueuse de la route : suite à un récent orage la route était gravillonneuse et présentait quelques trous et une tranchée. Je suis contraint de faire 4km sur la jante pour revenir réparer. Deux choix se sont présentés à moi :
- soit continuer à fond sur la jante afin de perdre le moins de temps possible, réparer et repartir avec les cadets ... mais abimer mes cosmic qui sont en excellent état
- soit rentrer tranquillement en faisant attention à ma jante, et abandonner car je n'aurai pas le temps de réparer avant le passage du peloton
J'ai choisi la 2ème solution. Il s'agit donc de ma 2ème crevaison en course mais de mon premier abandon sur crevaison : la dernière fois j'avais pu repartir rapidement et bénéficier d'un tour de rendu.
Je suis déçu car j'avais de bonnes sensations et qu'être contraint à l'abandon sur problème mécanique est toujours rageant. Je suis déçu car j'étais assuré de terminer dans les 20 étant donné qu'il y avait déjà un coureur ayant crevé et 3 coureurs lâchés. (A prendre sur le ton de l'humour). Je suis déçu car le sprint final me convient bien et que j'aurais pu y tirer mon épingle du jeu. En tout cas, chapeau au vainqueur : le coureur de Belleville, très actif depuis le début de la course, s'est isolé en solitaire à 2 tours de l'arrivée pour remporter la course de fort belle manière. Chapeau.
samedi 15 mai 2010
Deblocage à la veille du prix de pont de vaux
Courant demain à Pont de vaux, je suis allé faire une simple sortie de déblocage en compagnie de Félix. Le temps était gris et venteux, et nous a déversé sur le casque quelques gouttes éparses de pluie.
On a roulé modérément, je me suis juste fait monter le coeur en fin de sortie pour me débloquer.
NB : j'ai également croisé mon père en train de rouler avec son groupe. Les routes alentour sont vastes et nombreuses, les statistiques pour qu'on se trouve à un même point à un même moment sont faibles ... mais pourtant c'est arrivé !
On a roulé modérément, je me suis juste fait monter le coeur en fin de sortie pour me débloquer.
NB : j'ai également croisé mon père en train de rouler avec son groupe. Les routes alentour sont vastes et nombreuses, les statistiques pour qu'on se trouve à un même point à un même moment sont faibles ... mais pourtant c'est arrivé !
vendredi 14 mai 2010
Le comportement des automobilistes ...
Le team sky, en reconnaissance sur le parcours du CLM par équipes du Giro (je crois), a filmé le comportement d'un automobiliste. La vidéo se passe de commentaire :
Sachant que quand des mecs de ce niveau roulent il ne sont pas à 25km/h en train de zigzaguer en plein milieu de la route, qu'ils savent tenir leur ligne sans faire d'écarts, je me demande bien pourquoi cet automobiliste à eu un tel comportement.
Sachant que quand des mecs de ce niveau roulent il ne sont pas à 25km/h en train de zigzaguer en plein milieu de la route, qu'ils savent tenir leur ligne sans faire d'écarts, je me demande bien pourquoi cet automobiliste à eu un tel comportement.
jeudi 13 mai 2010
Un coup de pouce du ciel
Temps gris en venteux aujourd'hui : les jours se suivent et se ressemblent. Les températures étant fraiches, je suis sorti avec les manchettes et les jambières afin de ne pas accentuer le refroidissement qui m'handicape depuis quelques jours.
Je descends à Bocuse comme d'habitude et une fois sur les quais je prends un rythme assez élevé. Habituellement je prends le temps de m'échauffer tranquillement pendant au moins 5km mais là, curieusement, j'ai eu des sensations incroyables dès les premiers coups de pédales si bien que la vitesse qui me semblait adéquate pour m'échauffer était du coup assez rapide. Je file donc à toute vitesse, vent dans le nez, pendant 7 ou 8km avant de prendre un petit coup de moins bien : voilà ce qui se passe quand on part trop vite, qu'on est malade et qu'on ne s'entraine pas sérieusement. Fort heureusement pour moi, une grosse camionnette très haute et très large remorquant (via une barre) une voiturette sans permis, me rattrapa. Je l'avais doublé deux kilomètres plus tôt, mais nos vitesses étaient assez proches.
Tout juste rattrapé, je décide de me glisser dans l'aspiration : que peut-on trouver de mieux qu'une grosse camionnette roulant à 40km/h quand il y a un vent de face ? A part un bus ou un camion, pas grand chose je pense. Par un curieux hasard, il s'est trouvé que cette camionnette m'a ainsi remorqué 15km sans que je ne fasse trop d'efforts (le trop étant relatif, car il faut quand même tourner les jambes pour suivre) ... soit toute la partie vent de face. C'était ma foi fort agréable d'être ainsi aidé. Pendant que je profitais des bienfaits de l'aspiration je me demandais quelle bonne action j'avais pu faire pour que le ciel me remercie de cette manière. (NB : cette phrase est à prendre sur le ton de l'humour, ceux qui me connaissent savent que je ne suis pas croyant). J'ai supposé que c'était un coup de pouce destiné à me remercier d'avoir roulé tout l'hiver malgré le froid et la neige, et que voyant qu'au printemps je commençais à me lasser des conditions (et donc à moins rouler) c'était destiné à me remotiver.
Vent de travers favorable, et en ayant récupéré dans l'aspiration, j'ai pu envoyer la sauce sur les longs faux plats entre Anse et Lozanne, puis entre Lozanne et St germain. Le paysage a défilé à toute vitesse, c'était très agréable et très consommateur d'énergie. En jetant un coup d'oeil au chronomètre, je me suis rendu compte que j'étais approximativement dans les temps de mon record sur ce parcours ... record qui avait été atteint au cours d'une sortie avec David et Julien il y a plus d'un an, et au cours de laquelle nous avions enchainés les relais à allure supersonique jusqu'à (mon) épuisement. Malgré plusieurs tentatives, même en grande forme, je n'avais jamais réussi à m'approcher de ce temps canon et le pensais imbattable (par moi cela va de soi, il est évidement qu'un bon coureur pourrait le battre aisément).
Je me suis donc déchainé jusqu'à l'arrivée avec l'envie de battre ce chrono, seul qui plus est ! Le verdict est sans appel : j'ai amélioré mon meilleur temps de 3 minutes, soit une progression de 3 secondes par kilomètre. Par rapport aux temps que je met habituellement sur ce parcours, je gagne plus de 10 minutes, soit une dizaine de secondes par kilomètre. IMPRESSIONNANT.
Bon, je ne m'enflamme pas non plus et je garde les pieds sur terre : non il y a peu de chances que je gagne la course de dimanche, bien que le parcours me plaise, car si j'ai le rythme je n'ai en revanche pas fait assez d'entrainements fractionné pour encaisser sans broncher les multiples à-coups qui se produiront pendant la course. D'autre part, comme je le disais en prélude, je suis un peu malade ce qui ne devrait pas aider. On verra bien, je ne pars ni défaitiste ni en coq conquérant : j'irai chercher du plaisir et on verra bien ce que ça donnera.
Je descends à Bocuse comme d'habitude et une fois sur les quais je prends un rythme assez élevé. Habituellement je prends le temps de m'échauffer tranquillement pendant au moins 5km mais là, curieusement, j'ai eu des sensations incroyables dès les premiers coups de pédales si bien que la vitesse qui me semblait adéquate pour m'échauffer était du coup assez rapide. Je file donc à toute vitesse, vent dans le nez, pendant 7 ou 8km avant de prendre un petit coup de moins bien : voilà ce qui se passe quand on part trop vite, qu'on est malade et qu'on ne s'entraine pas sérieusement. Fort heureusement pour moi, une grosse camionnette très haute et très large remorquant (via une barre) une voiturette sans permis, me rattrapa. Je l'avais doublé deux kilomètres plus tôt, mais nos vitesses étaient assez proches.
Tout juste rattrapé, je décide de me glisser dans l'aspiration : que peut-on trouver de mieux qu'une grosse camionnette roulant à 40km/h quand il y a un vent de face ? A part un bus ou un camion, pas grand chose je pense. Par un curieux hasard, il s'est trouvé que cette camionnette m'a ainsi remorqué 15km sans que je ne fasse trop d'efforts (le trop étant relatif, car il faut quand même tourner les jambes pour suivre) ... soit toute la partie vent de face. C'était ma foi fort agréable d'être ainsi aidé. Pendant que je profitais des bienfaits de l'aspiration je me demandais quelle bonne action j'avais pu faire pour que le ciel me remercie de cette manière. (NB : cette phrase est à prendre sur le ton de l'humour, ceux qui me connaissent savent que je ne suis pas croyant). J'ai supposé que c'était un coup de pouce destiné à me remercier d'avoir roulé tout l'hiver malgré le froid et la neige, et que voyant qu'au printemps je commençais à me lasser des conditions (et donc à moins rouler) c'était destiné à me remotiver.
Vent de travers favorable, et en ayant récupéré dans l'aspiration, j'ai pu envoyer la sauce sur les longs faux plats entre Anse et Lozanne, puis entre Lozanne et St germain. Le paysage a défilé à toute vitesse, c'était très agréable et très consommateur d'énergie. En jetant un coup d'oeil au chronomètre, je me suis rendu compte que j'étais approximativement dans les temps de mon record sur ce parcours ... record qui avait été atteint au cours d'une sortie avec David et Julien il y a plus d'un an, et au cours de laquelle nous avions enchainés les relais à allure supersonique jusqu'à (mon) épuisement. Malgré plusieurs tentatives, même en grande forme, je n'avais jamais réussi à m'approcher de ce temps canon et le pensais imbattable (par moi cela va de soi, il est évidement qu'un bon coureur pourrait le battre aisément).
Je me suis donc déchainé jusqu'à l'arrivée avec l'envie de battre ce chrono, seul qui plus est ! Le verdict est sans appel : j'ai amélioré mon meilleur temps de 3 minutes, soit une progression de 3 secondes par kilomètre. Par rapport aux temps que je met habituellement sur ce parcours, je gagne plus de 10 minutes, soit une dizaine de secondes par kilomètre. IMPRESSIONNANT.
Bon, je ne m'enflamme pas non plus et je garde les pieds sur terre : non il y a peu de chances que je gagne la course de dimanche, bien que le parcours me plaise, car si j'ai le rythme je n'ai en revanche pas fait assez d'entrainements fractionné pour encaisser sans broncher les multiples à-coups qui se produiront pendant la course. D'autre part, comme je le disais en prélude, je suis un peu malade ce qui ne devrait pas aider. On verra bien, je ne pars ni défaitiste ni en coq conquérant : j'irai chercher du plaisir et on verra bien ce que ça donnera.
dimanche 9 mai 2010
Décoration
Nouvelle journée de grisaille, après-midi venteuse et pluvieuse. Il y a quelques mois j'aurais enfourché ma fidèle monture et je serai allé braver les intempéries. Oui mais, car il y a toujours un oui mais, mes priorités de vie ont changé ces derniers mois et les sorties par trop mauvais temps ne m'apportent plus de plaisir. Le vélo reste une passion, rouler sous la pluie autrefois me faisait plaisir mais ne me le fais plus à l'heure actuelle.
J'ai donc profité de la journée pour chercher des idées de décoration et commander sur internet de quoi embellir mon futur lieu de vie.
J'ai donc profité de la journée pour chercher des idées de décoration et commander sur internet de quoi embellir mon futur lieu de vie.
samedi 8 mai 2010
Du vent, de la grisaille, des abeilles
Après une semaine pluvieuse, j'étais presque content d'avoir un samedi seulement gris et venteux. Bon, c'est sur que j'aurais préféré retrouver le soleil et les températures de la fin du mois d'avril ...
Je suis allé rouler avec Félix : j'ai imposé un bon train tout le long de la sortie, et ça m'a fait plaisir de voir que malgré le fait qu'il soit à court de forme et de kilomètres, il est venu me prendre des relais régulièrement sans que je ne lui le demande ! Vent favorable ou latéral, ça ne me gênait pas de rester devant ... mais dans les parties vent défavorable, ça me permettait de récupérer pour mieux pouvoir relancer ensuite !
Il est à noter que pendant la sortie nous avons traversé un petit groupe d'abeilles (je dirai une vingtaine qui volaient en meute) : certaines sont restées accrochées aux mailles du maillot ... j'ai eu du mal à les décrocher et avais peur de me faire piquer ! C'est rare de voir des abeilles en groupe : en ce moment on en récolte beaucoup dans le casque mais ce sont toujours des éléments isolés ...
Je suis allé rouler avec Félix : j'ai imposé un bon train tout le long de la sortie, et ça m'a fait plaisir de voir que malgré le fait qu'il soit à court de forme et de kilomètres, il est venu me prendre des relais régulièrement sans que je ne lui le demande ! Vent favorable ou latéral, ça ne me gênait pas de rester devant ... mais dans les parties vent défavorable, ça me permettait de récupérer pour mieux pouvoir relancer ensuite !
Il est à noter que pendant la sortie nous avons traversé un petit groupe d'abeilles (je dirai une vingtaine qui volaient en meute) : certaines sont restées accrochées aux mailles du maillot ... j'ai eu du mal à les décrocher et avais peur de me faire piquer ! C'est rare de voir des abeilles en groupe : en ce moment on en récolte beaucoup dans le casque mais ce sont toujours des éléments isolés ...
jeudi 6 mai 2010
Preparation pour les travaux
Point de vélo aujourd'hui : une météo maussade ne m'a pas fait regretter d'être allé faire des courses, avec mon père, pour les travaux prévus ce week-end dans ma maison.
Ce week-end je vais tâcher de faire le plus de travaux possible : la météo annoncée n'étant pas très favorable à la pratique du cyclisme, je pense que j'irai juste me dégourdir les jambes mais sans trop insister. On verra bien ...
Ce week-end je vais tâcher de faire le plus de travaux possible : la météo annoncée n'étant pas très favorable à la pratique du cyclisme, je pense que j'irai juste me dégourdir les jambes mais sans trop insister. On verra bien ...
mercredi 5 mai 2010
Statistiques du mois d'Avril 2010
Le mois d'avril est terminé, place aux statistiques.
Nombre de sorties :
- 11 entraînements sur route
- 2 courses
Distances / Temps :
- 866,5 km sur route
- 30h 57min passé sur la selle
Rythme cardiaque / Cadence :
- en raison de dysfonctionnement de mon cardio, je n'ai pas les informations
- 92 rpm en moyenne
- 172 rpm au maximum
Petit bilan :
Les premières courses de l'année se sont bien déroulées. J'ai eu de bonnes sensations physiques, mais des éléments extérieurs gênent ma récupération d'où la remontée de la courbe cardiaque en fin de mois.
NB : il s'agit d'un bilan à chaud, qui pourra être réfuté dans quelques mois après une analyse avec du recul.
Nombre de sorties :
- 11 entraînements sur route
- 2 courses
Distances / Temps :
- 866,5 km sur route
- 30h 57min passé sur la selle
Rythme cardiaque / Cadence :
- en raison de dysfonctionnement de mon cardio, je n'ai pas les informations
- 92 rpm en moyenne
- 172 rpm au maximum
Petit bilan :
Les premières courses de l'année se sont bien déroulées. J'ai eu de bonnes sensations physiques, mais des éléments extérieurs gênent ma récupération d'où la remontée de la courbe cardiaque en fin de mois.
NB : il s'agit d'un bilan à chaud, qui pourra être réfuté dans quelques mois après une analyse avec du recul.
dimanche 2 mai 2010
Sortie rythmée en Dombes
Le temps aujourd'hui était maussade : frais et gris, mais les routes ont eu le temps de sécher depuis les pluies d'hier. Je suis donc allé m'entrainer et ai fait 75km de rythme afin de compenser le manque de course.
Dès mon arrivée sur les quais de Saône, je récupère un gars qui a vraiment le look et l'attitude du compétiteur. Pas besoin de s'échanger plus qu'un simple bonjour pour comprendre qu'on va faire un morceau de route ensemble en prenant des relais à un bon rythme. A deux c'est beaucoup mieux : on peut récupérer dans la roue de l'autre, et surtout dès que la vitesse faiblit un peu il y a un qui relance immédiatement. Ca ne laisse aucun temps mort et évite la tendance à "s'endormir" progressivement. Je le trouvais facile, vraiment facile par rapport à moi qui peinais un peu : j'avais les jambes lourdes comme si j'avais fait une longue sortie la veille ... alors que je n'avais rien fait.
A Anse, nos routes se sont séparées. J'ai continué sur un bon rythme et n'ai jamais relâché mon effort avant les 5 derniers kilomètres (afin de faire un retour au calme). Autant au début mes jambes semblaient bloquées, autant sur la fin c'était cardiaquement que j'étais limite ! Entre le début et la fin, tout allait bien, ouf !
Dès mon arrivée sur les quais de Saône, je récupère un gars qui a vraiment le look et l'attitude du compétiteur. Pas besoin de s'échanger plus qu'un simple bonjour pour comprendre qu'on va faire un morceau de route ensemble en prenant des relais à un bon rythme. A deux c'est beaucoup mieux : on peut récupérer dans la roue de l'autre, et surtout dès que la vitesse faiblit un peu il y a un qui relance immédiatement. Ca ne laisse aucun temps mort et évite la tendance à "s'endormir" progressivement. Je le trouvais facile, vraiment facile par rapport à moi qui peinais un peu : j'avais les jambes lourdes comme si j'avais fait une longue sortie la veille ... alors que je n'avais rien fait.
A Anse, nos routes se sont séparées. J'ai continué sur un bon rythme et n'ai jamais relâché mon effort avant les 5 derniers kilomètres (afin de faire un retour au calme). Autant au début mes jambes semblaient bloquées, autant sur la fin c'était cardiaquement que j'étais limite ! Entre le début et la fin, tout allait bien, ouf !
samedi 1 mai 2010
GP de St genis Laval : un rendez-vous manqué
Aujourd'hui se tenait le traditionnel Grand Prix de la ville de St genis laval, qui a lieu chaque 1er mai et qui sert de support au championnat du Rhône. J'avais pris l'habitude d'y participer, c'est d'ailleurs la seule course que j'avais effectuée chaque année depuis mes débuts en compétition ...
Depuis près d'une semaine, je suis perturbé par beaucoup de choses, je dors mal la nuit (quand je réussis à dormir) ... mon pouls est passé de 58 à 67 en moyenne ! Je suis épuisé, fatigué, et j'ai pleins de petits débuts de maladie (refroidissement, intoxication alimentaire ?). Après avoir passé une nuit fiévreuse, et au vu de la pluie abondante qui tombait, j'ai préféré ne pas prendre le départ de la course : il aurait été idiot de tomber véritablement malade suite à 2h30 d'efforts intense sous la pluie !
A la place de la course, je suis allé acheter des fleurs pour mon futur jardin. J'ai également profité de cette journée pluvieuse pour me reposer et tracer les plans de ma future salle de bain, qui devrait se finaliser avant la fin du mois. J'ai vraiment hâte que cette maison se termine : ça fait plus de 7mois que j'ai signé le compris, ça va en faire 8 que j'ai fait ma première visite ... le temps s'écoule, j'ai l'impression de stagner et que rien n'a changé dans ma vie sur ce plan là.
Depuis près d'une semaine, je suis perturbé par beaucoup de choses, je dors mal la nuit (quand je réussis à dormir) ... mon pouls est passé de 58 à 67 en moyenne ! Je suis épuisé, fatigué, et j'ai pleins de petits débuts de maladie (refroidissement, intoxication alimentaire ?). Après avoir passé une nuit fiévreuse, et au vu de la pluie abondante qui tombait, j'ai préféré ne pas prendre le départ de la course : il aurait été idiot de tomber véritablement malade suite à 2h30 d'efforts intense sous la pluie !
A la place de la course, je suis allé acheter des fleurs pour mon futur jardin. J'ai également profité de cette journée pluvieuse pour me reposer et tracer les plans de ma future salle de bain, qui devrait se finaliser avant la fin du mois. J'ai vraiment hâte que cette maison se termine : ça fait plus de 7mois que j'ai signé le compris, ça va en faire 8 que j'ai fait ma première visite ... le temps s'écoule, j'ai l'impression de stagner et que rien n'a changé dans ma vie sur ce plan là.
Inscription à :
Articles (Atom)