Ca ne vous a probablement pas échappé : j'ai repris les choses sérieuses. Le vélo-plaisir laisse désormais un peu de place au vélo-entraînement : "maximum", "fractionné" et "force" sont revenus dans la liste des mots émaillant mes derniers récits. Pourquoi maintenant ?
La première raison est la disparition des douleurs. C'est évidemment la première des choses qui ont permis ce retour à un entraînement qualitatif. Et c'est ce que je surveille le plus, sans pour autant faire de fixation dessus. En tout cas, lors des dernières sorties je n'ai pas ressenti de gêne ni en fin de sortie, ni en forçant, ce qui est très positif.
La deuxième raison est liée à mes coéquipiers : ils comptent sur ma présence afin de les épauler sur le Tour des Grands Ducs (TGD) début mai. Ayant participé à l'épreuve ces deux dernières années, j'ai acquis une certaine expérience qui peut leur être utile. Un de mes équipiers se prépare spécifiquement pour cette course, il a planifié son pic de forme pour cette période et compte sur mon aide pour l'accompagner le plus loin possible. Le TGD est une épreuve que j'aime beaucoup et ça me fera très plaisir d'y retourner même en qualité de porteur d'eau.
La dernière raison est un défi personnel : je vais participer à la reconnaissance de la course Bordeaux-Paris. Fin mai je vais effectuer un peu plus de 500km (560km si le nouveau tracé respecte le tracé "historique") afin de rallier Bordeaux à Paris par la seule force de mes jarrets. L'allure n'aura rien d'une course : il s'agira d'une très longue sortie en groupe avec une dizaine de cyclistes. Ce défi du Bordeaux-Paris constituera une étape dans la préparation d'un défi bien plus important qui devrai (si tout se passe comme je l'espère) avoir lieu au cours du mois de juillet. Je vous en reparlerai en temps voulu.
Vous pouvez consulter ici l'ensemble des articles consacrés au Tour des Grands Ducs.
Vous pouvez consulter ici l'ensemble des articles consacrés à Bordeaux-Paris.
Vous pouvez consulter ici l'ensemble des articles consacrés au Tour de Fête.
Bonjour
RépondreSupprimerJe ne vois pas en quoi tu seras utile à tes coéquipiers sur ta course par étape car depuis que tu as repris le vélo, tu n'as pratiquement pas fait de rythme .
La course est dans un mois et ça risque de faire un peu juste niveau preparation quand les gars enclencheront la première.
Tu as déjà du mal à tenir le rythme sur un entraînement avec tes collègues alors sur une course........
Cordialement
Stéphane
Salut Stéphane,
RépondreSupprimerTu as parfaitement raison, je suis encore un peu juste pour suivre mes copains quand ils vissent à l'entraînement. Mais je dispose d'un mois (enfin un peu moins, il ne faut pas que j'arrive épuisé au départ) pour me mettre au niveau.
Même si je ne peux pas aller au bout en compagnie du peloton principal, si je peux apporter deux bidons au bout d'une heure de course, puis rouler à fond quelques minutes pour revenir sur une échappée avant d'exploser, ce sera toujours ça de moins à faire pour mes équipiers ! Une fois mon job fait, je terminerai en roue libre en vue de refaire le même boulot sur l'étape suivante ...
porter des bidons sur une course Ufolep... je ne suis jamais intervenu mais là j'ai explosé de rire ! je cours en 2e caté et même sur des courses de 100 / 120 bornes on ne change pas de bidons toutes les 5 minutes ! pfouuu n'importe quoi ! heureusement que le ridicule ne tue pas !
RépondreSupprimerpar contre le site sur les cols, bien sympa et très complet !
Salut,
RépondreSupprimerEffectivement, dans la majorité des cas il suffit de partir avec 2 bidons et on peut faire une course d'une centaine de kilomètres. Mais tout dépend de la température et du vent : l'autre jour, par 0° et sans vent, un seul bidon m'a suffi pour faire 100km ...
Mon rôle dépendra vraiment des conditions de course et du parcours. Si mon équipier part avec un seul bidon, ou s'il en perd un, ou s'il fait très chaud, ... je lui en apporterai. S'il n'en a pas besoin, je tacherai de le seconder du mieux possible en cas d'incident mécanique, ou pour protéger son échappée s'il est devant, ou pour revenir sur les échappées s'il a été piégé.
Apprendre les prépositions, c’est un vrai calvaire.
RépondreSupprimerC’est mieux de dire « Back to business »
Je suis un homme d’âge mûr. J’adore le cyclisme et je lis le blog tous les jours pour améliore mon Français.
Bon courage avec le Bordeaux/Paris
Salut London,
RépondreSupprimerMerci pour la correction : j'ai bêtement repris le titre d'une chanson, sans me demander si leur titre était correct ou non.
Florent