mercredi 3 avril 2019

Paris-Nice Challenge

Le samedi 16 mars j'ai participé au Paris-Nice Challenge, une épreuve comme aime organiser ASO : le même parcours (ou presque) que les professionnels, la veille de leur passage. Après Paris-Roubaix Challenge et Liège-Bastogne-Liège Challenge tous deux lancés en 2011, Paris-Nice Challenge a été lancé en 2016.

Arrivé tard dans la nuit sur Nice, la nuit a été courte, très courte, trop courte. A peine 3 heures pour récupérer d'une journée bien usante, le réveil ayant sonné 20 heures plus tôt. Pas idéal pour battre des records, mais l'épreuve étant une randonnée sans réel classement ça n'avait pas vraiment d'importance.

A 8 heures, j'ai voulu récupérer mon dossard. Venu en pull-jean-basket, le vigile n'a pas voulu me laisser entrer dans la zone de retrait car ... je n'avais pas de vélo. Pas de vélo, pas de dossard. J'ai montré ma confirmation d'inscription, il m'a répondu "je peux faire la même chose sur internet !". Oui mais avoir un vélo ne veut pas dire qu'on est inscrit pour autant ! Bref, après 5 minutes de négociation, j'ai enfin pu rentrer et récupérer mon dossard.


J'ai préparé mes affaires et je me suis rendu sur la zone de départ, prêt à partir, un quart d'heure avant l'heure d'appel prévue. En fonction de mon numéro de dossard, j'étais convié à 9h pour un départ à 9h10, dans le deuxième sas ... mais en réalité il n'y avait pas de sas, juste une zone bordélique où tout le monde s'agglutinait et où l'ordre de départ n'était pas en fonction du dossard mais en fonction de l'heure d'arrivée sur place. Premiers arrivés, premiers à partir. Bon, niveau horaire, pour moi ça n'a pas changé grand chose car en m'insérant dans la file j'ai pu partir à 9h10 comme prévu initialement. 25 personnes étaient lâchées toutes les minutes, c'est bien pour les automobilistes afin d'éviter le troupeau de cyclistes dans la ville qui bloque toute la circulation, et c'est pas mal pour les cyclistes car ça ne fait pas un peloton de 1000 personnes prenant toute la largeur de la route avec des cyclistes qui tentent de remonter par tous les moyens (y compris les trottoirs).