En ce dernier jour de l'année 2011, je suis allé me dégourdir les jambes. Le temps était gris mais il ne pleuvait pas, en revanche les routes étaient humides et glissantes.
Je suis monté au siège de mon club pour récupérer des papiers et divers renseignements. Je suis resté planté dans la bosse de l'épinette (300m à 13%), mais j'ai pu relancer une fois en haut. Après une demi-heure avec les dirigeants du club, je suis parti rouler tranquillement. Je suis allé à St andré de corcy, poussé par un léger vent favorable. Je me suis alors planqué dans les bois pour éviter le vent de travers, avant de rentrer avec un léger vent de face.
J'ai fini mon année 2011 sur une note mitigée : je ne me sentais pas super bien, il faisait gris et j'ai pris un peu de bruine, mais il ne faisait pas froid. Place à 2012, pour laquelle j'espère de belles choses.
Consultez ma sortie sur Strava.
Je vais vous faire vivre au quotidien ma passion pour le cyclisme à travers mes entraînements, les compétitions auxquelles je participe, mes différents défis, ...
samedi 31 décembre 2011
samedi 24 décembre 2011
Sortie de noël
En ce samedi 24 décembre, je suis allé rouler avec Rémy : nous avons tous les deux souhaité dépenser des calories avant d'en reprendre dans les jours à venir à cause des différentes festivités de fin d'année.
J'ai remonté les quais de Saône, avec un léger vent de face, afin d'aller à la rencontre de mon partenaire d'entraînement du jour. On s'est retrouvé vers St germain. On a continué la remontée vent de face, mais à deux on a pu prendre des relais afin non pas d'économiser nos forces, mais de rouler plus vite. Je n'ai pas hésité et ai pris chacun de mes relais allégrement, sans m'économiser.
A Trévoux on a bifurqué afin de monter sur le plateau de la Dombes : la encore on a maintenu un bon tempo. Je voulais améliorer mon temps d'ascension afin de prendre possession du meilleur chrono sur Strava.
Sur le plateau, on s'est planqué sur une route à l'abri du vent. On a doublé un gros groupe de cyclotouristes de l'AC3F : je dirai qu'ils étaient un peu moins de 20. C'est rare de tomber sur de si gros groupes, à fortiori un 24 décembre ! On s'est ainsi abrité du vent jusqu'à Ambérieux-en-dombes.
A Ambérieux, on a récupéré un vent favorable. On en a profité pour relâcher notre effort, qui était légèrement soutenu depuis le départ : on s'est ravitaillé, on a discuté, on a fait quelques photos ... puis on a remis les gaz ! On a fait tout le retour, vent favorable, sur un bon tempo. Nos routes se sont séparées à Neuville, après être allé faire quelques photos sur les hauteurs de Montanay. Je suis rentré tranquillement chez moi.
Cette sortie ensoleillée m'aura été profitable : le rythme légèrement soutenu tout le long des 60km permet de reprendre en douceur les sorties plus intenses. Ma préparation pour la saison 2012 va devoir maintenant augmenter en intensité, afin d'être dans une condition physique acceptable début mars. Les courses vont arriver rapidement, dans 2 mois ce sera la reprise.
Je vous souhaite à tous un joyeux noël.
Consultez notre sortie sur Strava.
J'ai remonté les quais de Saône, avec un léger vent de face, afin d'aller à la rencontre de mon partenaire d'entraînement du jour. On s'est retrouvé vers St germain. On a continué la remontée vent de face, mais à deux on a pu prendre des relais afin non pas d'économiser nos forces, mais de rouler plus vite. Je n'ai pas hésité et ai pris chacun de mes relais allégrement, sans m'économiser.
A Trévoux on a bifurqué afin de monter sur le plateau de la Dombes : la encore on a maintenu un bon tempo. Je voulais améliorer mon temps d'ascension afin de prendre possession du meilleur chrono sur Strava.
Sur le plateau, on s'est planqué sur une route à l'abri du vent. On a doublé un gros groupe de cyclotouristes de l'AC3F : je dirai qu'ils étaient un peu moins de 20. C'est rare de tomber sur de si gros groupes, à fortiori un 24 décembre ! On s'est ainsi abrité du vent jusqu'à Ambérieux-en-dombes.
A Ambérieux, on a récupéré un vent favorable. On en a profité pour relâcher notre effort, qui était légèrement soutenu depuis le départ : on s'est ravitaillé, on a discuté, on a fait quelques photos ... puis on a remis les gaz ! On a fait tout le retour, vent favorable, sur un bon tempo. Nos routes se sont séparées à Neuville, après être allé faire quelques photos sur les hauteurs de Montanay. Je suis rentré tranquillement chez moi.
Cette sortie ensoleillée m'aura été profitable : le rythme légèrement soutenu tout le long des 60km permet de reprendre en douceur les sorties plus intenses. Ma préparation pour la saison 2012 va devoir maintenant augmenter en intensité, afin d'être dans une condition physique acceptable début mars. Les courses vont arriver rapidement, dans 2 mois ce sera la reprise.
Je vous souhaite à tous un joyeux noël.
Consultez notre sortie sur Strava.
mercredi 21 décembre 2011
Tour de Sardaigne 2012
Un peu après la fin de la Haute-Route, Florian (avec qui j'avais effectué un week-end de préparation dans le massif central, et la Haute-Route) m'avait parlé de participer à une course à étapes similaire en Italie : le Tour de Sardaigne. L'épreuve aura lieu du 22 au 28 avril 2012.
Ces derniers jours, un mail de sa part m'a informé que notre participation sera envisageable dès cette année. L'expérience du Tour des Grands Ducs puis de la Haute-Route m'ayant énormément plu, et m'ayant conforté dans mon envie de me tourner désormais vers les courses à étapes, c'est avec grand plaisir que j'ai pris la nouvelle.
J'ai consulté le site de l'épreuve, en italien et en anglais uniquement, afin d'y aller à la pêche aux informations.
Contrairement à la Haute-Route, les organisateurs ont fait le choix de rester toute la semaine au même endroit : on va passer toute la semaine dans la même chambre d'hôtel, les installations de course seront au même endroit, ... il n'y aura donc pas d'itinérance. Les parcours sont ensuite tracés en étoile autour de la ville centrale, afin de proposer chaque jour des parcours différents. De plus, l'organisation propose 2 parcours chaque jour : un grand et un plus petit (comme le font la majorité des cyclosportives d'un jour).
Au niveau des étapes, il y aura 2 étapes "en bord de mer", 2 contre-la-montre, et 3 étapes de montagne.
Rien n'est fait pour le moment : nous ne sommes pas officiellement engagés sur l'épreuve, mais j'espère vraiment que ça va se faire ! Ce serait probablement une superbe expérience et une excellente course de préparation pour la Haute-Route.
Voici les cartes et profils des étapes :
Vous pouvez consulter ici l'ensemble des articles consacrés au Tour de Sardaigne.
Ces derniers jours, un mail de sa part m'a informé que notre participation sera envisageable dès cette année. L'expérience du Tour des Grands Ducs puis de la Haute-Route m'ayant énormément plu, et m'ayant conforté dans mon envie de me tourner désormais vers les courses à étapes, c'est avec grand plaisir que j'ai pris la nouvelle.
J'ai consulté le site de l'épreuve, en italien et en anglais uniquement, afin d'y aller à la pêche aux informations.
Contrairement à la Haute-Route, les organisateurs ont fait le choix de rester toute la semaine au même endroit : on va passer toute la semaine dans la même chambre d'hôtel, les installations de course seront au même endroit, ... il n'y aura donc pas d'itinérance. Les parcours sont ensuite tracés en étoile autour de la ville centrale, afin de proposer chaque jour des parcours différents. De plus, l'organisation propose 2 parcours chaque jour : un grand et un plus petit (comme le font la majorité des cyclosportives d'un jour).
Au niveau des étapes, il y aura 2 étapes "en bord de mer", 2 contre-la-montre, et 3 étapes de montagne.
- Etape 1 : 150km, 1830m de dénivelé.
- Etape 2 (contre-la-montre) : 20km, 155m de dénivelé
- Etape 3 : 109km, 1050m de dénivelé
- Etape 4 : 160km, 2235m de dénivelé
- Etape 5 (contre-la-montre) : 23km, 140m de dénivelé
- Etape 6 : 92km, 2260m de dénivelé
- Etape 7 : 55km, 1100m de dénivelé
Rien n'est fait pour le moment : nous ne sommes pas officiellement engagés sur l'épreuve, mais j'espère vraiment que ça va se faire ! Ce serait probablement une superbe expérience et une excellente course de préparation pour la Haute-Route.
Voici les cartes et profils des étapes :
Vous pouvez consulter ici l'ensemble des articles consacrés au Tour de Sardaigne.
lundi 19 décembre 2011
1ers tours de roue sous la neige
Dimanche après-midi, Bertrand et Julien sont venus chez moi afin d'effectuer un entraînement en commun. Bertrand représente mes premiers tours de roue : c'est avec lui que j'ai effectué ma toute première sortie intensive, en novembre 2006 (depuis, j'ai connu 3 autres vélos, c'est pour dire !) ... Julien représente lui un passé bien plus récent, puisque je l'ai rencontré fin février de cette année !
On est parti avec un bon vent de face : comme toujours, Julien étant chaud (il a une quinzaine de kilomètres pour venir chez moi), il a mené à un bon train dès le départ. On a fait la montée du boulodrome de Neuville en 2 groupes : lui devant, nous derrière ... et pourtant, on a pas trainassé en route !
En haut, vent de travers avec les cosmic, je me suis fait balayer ! On a tourné pour le prendre de 3/4 face, rendant ma conduite moins pénible, avant d'aller se plaquer dans les bois. Un nouveau bout droit vent dans le nez, une nouvelle traversée à l'abri dans les bois, une descente rapide et nous voila de retour sur les quais de Saône. Chacun a pris des relais plus ou moins longs afin d'assurer le tempo en tête de groupe. L’homogénéité n'était pas parfaite, ce n'était pas ultra-fluide, mais nos relais ont quand même été efficaces.
Sur le retour, vent de dos, j'ai lâché les chevaux. Je me suis vraiment donné, Bertrand est venu me donner la réplique et ensemble nous avons fait une bonne partie de manivelles sur quelques kilomètres. Ce fut court mais intense. Julien, pas dans sa forme habituelle, s'est contenté de suivre : la semaine dernière c'était moi qui étais mal, cette fois ce fut son tour ... la roue tourne. Tout cycliste connait de bons jours et de mauvaises années.
On a fini la descente des quais de Saône tranquillement jusqu'à Bocuse, où nos routes se sont séparées : j'ai accompagné Betrand tandis que Julien a continué seul pour rentrer chez lui. Au cours de la montée dans les rues de Collonges, montée que j'ai emprunté presque tous les week-ends pendant les 6 années de cyclisme où j'habitais chez mes parents, la neige s'est mise à tomber. Pas de gros flocons, ça ressemblait plutôt à une averse de grésil.
J'ai laissé Bertrand devant chez lui et je suis rentré chez moi sous cette neige / grésil. Les routes commençaient à être glissantes : j'ai été prudent, d'autant plus que le vent soufflait abondamment de travers ce qui me déstabilisais. Je suis content de ma sortie car j'ai pris de bons relais et ne me suis pas économisé. Je suis également content d'avoir à nouveau roulé avec Bertrand : c'est toujours plaisant de retrouver des amis de longue date pour partager un morceau de bitume.
Consultez notre sortie sur Strava.
On est parti avec un bon vent de face : comme toujours, Julien étant chaud (il a une quinzaine de kilomètres pour venir chez moi), il a mené à un bon train dès le départ. On a fait la montée du boulodrome de Neuville en 2 groupes : lui devant, nous derrière ... et pourtant, on a pas trainassé en route !
En haut, vent de travers avec les cosmic, je me suis fait balayer ! On a tourné pour le prendre de 3/4 face, rendant ma conduite moins pénible, avant d'aller se plaquer dans les bois. Un nouveau bout droit vent dans le nez, une nouvelle traversée à l'abri dans les bois, une descente rapide et nous voila de retour sur les quais de Saône. Chacun a pris des relais plus ou moins longs afin d'assurer le tempo en tête de groupe. L’homogénéité n'était pas parfaite, ce n'était pas ultra-fluide, mais nos relais ont quand même été efficaces.
Sur le retour, vent de dos, j'ai lâché les chevaux. Je me suis vraiment donné, Bertrand est venu me donner la réplique et ensemble nous avons fait une bonne partie de manivelles sur quelques kilomètres. Ce fut court mais intense. Julien, pas dans sa forme habituelle, s'est contenté de suivre : la semaine dernière c'était moi qui étais mal, cette fois ce fut son tour ... la roue tourne. Tout cycliste connait de bons jours et de mauvaises années.
On a fini la descente des quais de Saône tranquillement jusqu'à Bocuse, où nos routes se sont séparées : j'ai accompagné Betrand tandis que Julien a continué seul pour rentrer chez lui. Au cours de la montée dans les rues de Collonges, montée que j'ai emprunté presque tous les week-ends pendant les 6 années de cyclisme où j'habitais chez mes parents, la neige s'est mise à tomber. Pas de gros flocons, ça ressemblait plutôt à une averse de grésil.
J'ai laissé Bertrand devant chez lui et je suis rentré chez moi sous cette neige / grésil. Les routes commençaient à être glissantes : j'ai été prudent, d'autant plus que le vent soufflait abondamment de travers ce qui me déstabilisais. Je suis content de ma sortie car j'ai pris de bons relais et ne me suis pas économisé. Je suis également content d'avoir à nouveau roulé avec Bertrand : c'est toujours plaisant de retrouver des amis de longue date pour partager un morceau de bitume.
Consultez notre sortie sur Strava.
vendredi 16 décembre 2011
Suivi de forme : informations sur mon poids et mon pouls depuis 3 ans
Depuis février 2009, je prends mon pouls (presque) tous les matins. Depuis juin 2009, je fais de même avec mon poids.
Vois trouverez ci-dessous les graphiques. Les lignes en rouge correspondent à mon pouls, l'échelle de valeur étant située sur la droite de l'image. Les lignes bleu correspondent à mon poids, l'échelle de valeur étant située sur la gauche de l'image. Attention : les échelles sont différentes d'un mois à l'autre
2009 :
Il est marrant de noter l'influence de certains éléments : par exemple sur le graphique de février on constate un long pic lors du stage effectué en Espagne. On constate également des pics les lendemain de chaque course ou de chaque entraînement important. (Nb : en 2009 je suivais rigoureusement un plan d'entraînement intense).
Sur 2009, mon poids en plein saison a varié entre 58 et 60kg, et est resté aux alentours de 60kg en décembre. Mon pouls en pleine saison a varié entre 50 et 55bpm (hors pics liés aux courses), et il est remonté progressivement pour se trouver entre 60 et 65bpm en décembre.
En 2010 :
En 2010 mon poids en pleine saison a varié entre 59 et 60kg, tandis qu'il était plutôt entre 60 et 62 dans les phases hors-saison. Pour mon pouls, celui-ci a varié entre 50 et 60 bpm en pleine saison (hors pics liés aux courses), et entre 60 et 70 hors-saison.
En 2011 :
(je n'ai fait aucun relevé sur les mois de septembre et d'octobre, par fort manque de motivation !)
En 2011, mon pouls pendant la saison a varié entre 50 et 60 bpm, et entre 60 et 70 bpm en dehors de la saison. Mon poids à quand a lui varié entre 60 et 61kg tout au long de la saison, mais est en train de monter en flèche en cette fin d'année (novembre / décembre).
Conclusion :
Ces (presque) 3 années de données sont une mine d'informations intéressantes, surtout si on les recoupe avec les différents entraînements et courses que j'ai effectuées. Quand j'ai commencé ces relevés, à la demande de mon entraîneur, ceci lui permettait de voir comment je récupérais des différents exercices qu'il me demandait de faire, afin d'adapter le mieux possible les exercices aux réactions de mon corps et aux objectifs que je m'étais fixé dans la saison.
L'analyse grossière de ces 3 années montre que jusqu'à présent j'ai toujours maintenu un poids stable l'hiver (environ 2kg de plus que l'été), et que d'une année sur l'autre mon rythme cardiaque est relativement homogène.
Vois trouverez ci-dessous les graphiques. Les lignes en rouge correspondent à mon pouls, l'échelle de valeur étant située sur la droite de l'image. Les lignes bleu correspondent à mon poids, l'échelle de valeur étant située sur la gauche de l'image. Attention : les échelles sont différentes d'un mois à l'autre
2009 :
Il est marrant de noter l'influence de certains éléments : par exemple sur le graphique de février on constate un long pic lors du stage effectué en Espagne. On constate également des pics les lendemain de chaque course ou de chaque entraînement important. (Nb : en 2009 je suivais rigoureusement un plan d'entraînement intense).
Sur 2009, mon poids en plein saison a varié entre 58 et 60kg, et est resté aux alentours de 60kg en décembre. Mon pouls en pleine saison a varié entre 50 et 55bpm (hors pics liés aux courses), et il est remonté progressivement pour se trouver entre 60 et 65bpm en décembre.
En 2010 :
En 2010 mon poids en pleine saison a varié entre 59 et 60kg, tandis qu'il était plutôt entre 60 et 62 dans les phases hors-saison. Pour mon pouls, celui-ci a varié entre 50 et 60 bpm en pleine saison (hors pics liés aux courses), et entre 60 et 70 hors-saison.
En 2011 :
(je n'ai fait aucun relevé sur les mois de septembre et d'octobre, par fort manque de motivation !)
En 2011, mon pouls pendant la saison a varié entre 50 et 60 bpm, et entre 60 et 70 bpm en dehors de la saison. Mon poids à quand a lui varié entre 60 et 61kg tout au long de la saison, mais est en train de monter en flèche en cette fin d'année (novembre / décembre).
Conclusion :
Ces (presque) 3 années de données sont une mine d'informations intéressantes, surtout si on les recoupe avec les différents entraînements et courses que j'ai effectuées. Quand j'ai commencé ces relevés, à la demande de mon entraîneur, ceci lui permettait de voir comment je récupérais des différents exercices qu'il me demandait de faire, afin d'adapter le mieux possible les exercices aux réactions de mon corps et aux objectifs que je m'étais fixé dans la saison.
L'analyse grossière de ces 3 années montre que jusqu'à présent j'ai toujours maintenu un poids stable l'hiver (environ 2kg de plus que l'été), et que d'une année sur l'autre mon rythme cardiaque est relativement homogène.
mercredi 14 décembre 2011
Haute Route 2012 : les cols à franchir
Voici la liste des grimpées que les participants de la Haute-Route 2012, dont je ferai partie, auront à franchir.
Etape 1 : Genève - Megève
- Col de Romme, 1297m - 9.3km à 8.8%
- Col de la Colombière, 1613m - 8km à 9% (pris uniquement à partir du Reposoir)
- Col de St jean de sixt, 865m
- Col des Aravis, 1486m - 10km à 5.3% (pris uniquement à partir de St jean de sixt)
- Seuil de Megève, 1097m - 8km à 2.2% (pris uniquement à partir de Flumet)
Etape 2 : Megève - Courchevel
- Col des Saisies, 1657m - 14.8km à 5%
- Courchevel 1850 1850m - 25km à 5%
Etape 3 : Courchevel - L'Alpe d'Huez
- Col de la Madeleine, 1993m - 28.2km à 5.4%
- Col du Glandon, 1924m - 21.3km à 6.9%
- L'alpe d'huez, 1860m - 12.5km à 5.6%
Etape 4 : Bourg d'Oisans - L'Alpe d'Huez
- L'alpe d'huez, 1860m - 14km à 7.9% (grimpée chronométrée)
Etape 5 : L'Alpe d'Huez - Risoul
- Col de Sarenne, 1999m - 8km à 5.8% (pris uniquement à partir de l'alpe d'huez)
- Col du Lautaret, 2057m - 25km à 5.5% (pris uniquement à partir du 9ème kilomètre)
- Col d’Izoard, 2361m - 20km à 5.7%
- Col de la Platrière, 2220m - (légère montée à la sortie de la Case Déserte)
- Col de l'ange gardien, 1347m - (légère montée en bas de l'Izoard, au moment de s'engager dans les gorges du Guil)
- Risoul, 1630m - 9.4km à 5.3%
Etape 6 : Risoul - Auron
- Col de Vars, 2111m - 19.4km à 5.7%
- Col de la Bonette, 2715m - (franchi dans la montée de la cime de la Bonette)
- Cime de la Bonette, 2802m - 24km à 6.6%
- Col des Granges Communes, 2513m - (franchi dans la descente de la Bonette)
- Auron, 1652m - 5km à 8% (uniquement à partir du 13ème kilomètre sur le profil)
Etape 7 : Auron - Nice
- Col de la Couillole, 1678m - 16km à 7.3%
- Col de St Raphaël, 876m - 7.5km à 3.9%
- Col de Vence, 962m - 17km à 2.5%
Vous pouvez consulter ici l'ensemble des articles consacrés à la Haute Route.
Etape 1 : Genève - Megève
- Col de Romme, 1297m - 9.3km à 8.8%
- Col de la Colombière, 1613m - 8km à 9% (pris uniquement à partir du Reposoir)
- Col de St jean de sixt, 865m
- Col des Aravis, 1486m - 10km à 5.3% (pris uniquement à partir de St jean de sixt)
- Seuil de Megève, 1097m - 8km à 2.2% (pris uniquement à partir de Flumet)
Etape 2 : Megève - Courchevel
- Col des Saisies, 1657m - 14.8km à 5%
- Courchevel 1850 1850m - 25km à 5%
Etape 3 : Courchevel - L'Alpe d'Huez
- Col de la Madeleine, 1993m - 28.2km à 5.4%
- Col du Glandon, 1924m - 21.3km à 6.9%
- L'alpe d'huez, 1860m - 12.5km à 5.6%
Etape 4 : Bourg d'Oisans - L'Alpe d'Huez
- L'alpe d'huez, 1860m - 14km à 7.9% (grimpée chronométrée)
Etape 5 : L'Alpe d'Huez - Risoul
- Col de Sarenne, 1999m - 8km à 5.8% (pris uniquement à partir de l'alpe d'huez)
- Col du Lautaret, 2057m - 25km à 5.5% (pris uniquement à partir du 9ème kilomètre)
- Col d’Izoard, 2361m - 20km à 5.7%
- Col de la Platrière, 2220m - (légère montée à la sortie de la Case Déserte)
- Col de l'ange gardien, 1347m - (légère montée en bas de l'Izoard, au moment de s'engager dans les gorges du Guil)
- Risoul, 1630m - 9.4km à 5.3%
Etape 6 : Risoul - Auron
- Col de Vars, 2111m - 19.4km à 5.7%
- Col de la Bonette, 2715m - (franchi dans la montée de la cime de la Bonette)
- Cime de la Bonette, 2802m - 24km à 6.6%
- Col des Granges Communes, 2513m - (franchi dans la descente de la Bonette)
- Auron, 1652m - 5km à 8% (uniquement à partir du 13ème kilomètre sur le profil)
Etape 7 : Auron - Nice
- Col de la Couillole, 1678m - 16km à 7.3%
- Col de St Raphaël, 876m - 7.5km à 3.9%
- Col de Vence, 962m - 17km à 2.5%
Vous pouvez consulter ici l'ensemble des articles consacrés à la Haute Route.
lundi 12 décembre 2011
Entre deux rives
Hier je suis allé rouler entre une rivière (la Saône) et un fleuve (le Rhône). Je n'ai pas l'habitude de longer le Rhône ni de m'aventurer sur ses berges, mais pour la 1ère sortie cycliste de ma 26ème année, il faut bien accepter d'innover et de sortir des sentiers battus !
Julien et Jeremy sont venus me récupérer chez moi, et ensemble nous avons remonté les quais de Saône afin de rejoindre Mickaël. On a traversé la Saône et on a effectué la montée de Montanay, puis nous avons traversé tout le plateau de la Dombes via de petites routes, voir très petites par moments (c'était à la limite du cyclocross). On a ainsi traversé le plateau de la Dombes jusqu'au Montellier, avant de filer vers le sud en direction du Rhône.
Après avoir franchi la bosse de Sainte-Croix, on a rejoint Montluel puis Dagneux : c'était de l'agglomération, le rythme a été coupé par des ronds points, des stops et des feux rouges ... mais ça n'a pas duré et on a vite retrouvé des champs et des forets. C'est bien plus agréable de rouler sans voitures et sans béton.
A Thil, alors que je commençais à avoir une défaillance et que mes compagnons de route s'affrontaient dans un sprint pancarte, j'ai eu la chance de voir de très près un écureuil ! Il attendait sagement sur le trottoir quand les autres sont passés, il a traversé rapidement quelques mètres devant moi, et s'est posé sur le tronc d'un arbre de l'autre côté. J'ai bien eu le temps de l'admirer, ça m'a redonné le sourire et ça a agi comme un rayon de soleil perçant la grisaille. C'est le genre de choses qui me font aimer le cyclisme ! (N'en déplaise à certains qui ne font que regarder leur compteur, et ne prennent jamais le temps de regarder autour d'eux.)
Les 20 derniers kilomètres ont été une longue gestion de mes maigres réserves : je n'avais pratiquement rien mangé depuis 24h, mon dernier repas étant une grosse raclette le samedi midi (ce qui est loin d'être le plus adapté à la pratique du cyclisme), et une crêpe au nutella dans la nuit ... et comme je pensais partir pour 40km, je n'avais rien pris à manger sur moi ! Une erreur grossière.
J'ai géré ma montée du Mas-Rillier sans encombre, et une fois sur le plateau exposé au vent de trois-quart face je me suis appliqué à tourner les jambes et à rester homogène. Le retour s'est fait bien mieux que je ne le pensais.
Je suis rentré chez moi au bord de la fringale, vidé de mes forces, mais pas mécontent de ma sortie. Je devrai reprendre les courses fin février, il est donc temps d'allonger les sorties et cette sortie de 3h de selle était donc la bienvenue. D'autant plus que j'ai fait une grande partie de la sortie devant.
Consultez notre parcours sur Strava.
Consultez notre parcours sur Endomondo.
Julien et Jeremy sont venus me récupérer chez moi, et ensemble nous avons remonté les quais de Saône afin de rejoindre Mickaël. On a traversé la Saône et on a effectué la montée de Montanay, puis nous avons traversé tout le plateau de la Dombes via de petites routes, voir très petites par moments (c'était à la limite du cyclocross). On a ainsi traversé le plateau de la Dombes jusqu'au Montellier, avant de filer vers le sud en direction du Rhône.
Après avoir franchi la bosse de Sainte-Croix, on a rejoint Montluel puis Dagneux : c'était de l'agglomération, le rythme a été coupé par des ronds points, des stops et des feux rouges ... mais ça n'a pas duré et on a vite retrouvé des champs et des forets. C'est bien plus agréable de rouler sans voitures et sans béton.
A Thil, alors que je commençais à avoir une défaillance et que mes compagnons de route s'affrontaient dans un sprint pancarte, j'ai eu la chance de voir de très près un écureuil ! Il attendait sagement sur le trottoir quand les autres sont passés, il a traversé rapidement quelques mètres devant moi, et s'est posé sur le tronc d'un arbre de l'autre côté. J'ai bien eu le temps de l'admirer, ça m'a redonné le sourire et ça a agi comme un rayon de soleil perçant la grisaille. C'est le genre de choses qui me font aimer le cyclisme ! (N'en déplaise à certains qui ne font que regarder leur compteur, et ne prennent jamais le temps de regarder autour d'eux.)
Les 20 derniers kilomètres ont été une longue gestion de mes maigres réserves : je n'avais pratiquement rien mangé depuis 24h, mon dernier repas étant une grosse raclette le samedi midi (ce qui est loin d'être le plus adapté à la pratique du cyclisme), et une crêpe au nutella dans la nuit ... et comme je pensais partir pour 40km, je n'avais rien pris à manger sur moi ! Une erreur grossière.
J'ai géré ma montée du Mas-Rillier sans encombre, et une fois sur le plateau exposé au vent de trois-quart face je me suis appliqué à tourner les jambes et à rester homogène. Le retour s'est fait bien mieux que je ne le pensais.
Je suis rentré chez moi au bord de la fringale, vidé de mes forces, mais pas mécontent de ma sortie. Je devrai reprendre les courses fin février, il est donc temps d'allonger les sorties et cette sortie de 3h de selle était donc la bienvenue. D'autant plus que j'ai fait une grande partie de la sortie devant.
Consultez notre parcours sur Strava.
Consultez notre parcours sur Endomondo.
samedi 10 décembre 2011
Haute Route 2011 : vidéo rétrospective
Cette semaine, l'organisation de la Haute Route a mis en ligne une vidéo de 26 minutes. Cette vidéo revient sur la 1ère édition qui s'est déroulée cet été.
Pour tous ceux qui, comme moi, ont regardé les vidéos journalières tout au long de l'épreuve : il n'y a pas grand chose de nouveau. Il s'agit d'une grosse compilation des 7 vidéos journalières, avec quelques images inédites mais très peu. Pour ceux qui ne les avaient pas vues, c'est l'occasion de les découvrir.
La vidéo est sympa à voir, grâce à de belles images et car elle me fait remonter un certain nombre de bons souvenirs. Je trouve cependant qu'elle manque de rythme et que la bande son manque de tonus.
Vous pouvez consulter ici l'ensemble des articles consacrés à la Haute Route.
Pour tous ceux qui, comme moi, ont regardé les vidéos journalières tout au long de l'épreuve : il n'y a pas grand chose de nouveau. Il s'agit d'une grosse compilation des 7 vidéos journalières, avec quelques images inédites mais très peu. Pour ceux qui ne les avaient pas vues, c'est l'occasion de les découvrir.
La vidéo est sympa à voir, grâce à de belles images et car elle me fait remonter un certain nombre de bons souvenirs. Je trouve cependant qu'elle manque de rythme et que la bande son manque de tonus.
Vous pouvez consulter ici l'ensemble des articles consacrés à la Haute Route.
vendredi 9 décembre 2011
25ans : un grand merci
En ce 8 décembre 2011, j'ai fêté mon quart de siècle passé sur terre. En effet, le 8 décembre de l'an de grâce 1986, je venais au monde pour le plus grand bonheur de ma famille.
Je pourrai vous dire des choses banales, du genre qu'en 25 ans je suis passé par tous les états : les plus grandes joies comme les plus grandes peines. Les exemples ne manquent pas dans les 2 cas. Je pourrai vous dire d'autres choses banales comme le fait que je suis fier de ce que j'ai déjà accompli blablabla ... et vous faire toute une liste des choses qui me rendent fier de moi. Je passerai évidemment sous silence mes actions litigieuses, car comme tout le monde j'ai mes casseroles.
Les banalités, les ronds de jambes et les courbettes destinées à faire comme tout le monde : très peu pour moi ! Bien qu'ici ce soit mon blog, sur lequel je raconte ma vie, et que cet article semble consacré à mon anniversaire, je voudrais en réalité vous parler de ma famille, mes amis et mes collègues.
Je vais commencer par ma famille. C'est logique car ce sont les premiers à m'avoir accueillis au sein de leur groupe. Ce sont les premiers à m'avoir aimé. Je les vois peu, ils me voient peu. Je leur parle peu, ils me parlent peu. Je les apprécie, ils m'apprécient. Je ne leur le dit pas car ce n'est pas dans ma nature, mais je les aime et sans eux je serai très loin d'être où je suis. Mes parents, mes soeurs, mes grands-parents, mon parrain et ma marraine, mes oncles et tantes, mes cousins et cousines ... de par leur comportement et leurs conseils, de par leur équilibre et leurs valeurs, ils m'ont permis d'avoir un socle solide. Ce sont eux qui ont forment mes racines : ils m'ont montré le chemin à suivre pour rester droit et honnête en toutes circonstances. Ils sont les lumières qui balisent les routes sombres de ma vie et me permettent de rester dans le droit chemin quoi qu'il arrive. Je sais qu'ils me lisent, et je tenais à leur dire merci via cet article. Ils comptent bien plus pour moi qu'ils ne peuvent l'imaginer, et que je ne leur le montre.
Je vais continuer par mes amis. Quelques-uns me connaissent depuis près de 10ans et ont été là physiquement dans la majorité des grands moments de ma vie ces dernières années. D'autres ne me connaissent que depuis peu grâce à internet et ne m'ont jamais rencontrés en vrai. Nos vies et nos destins font que certains se sont progressivement éloignés ces derniers temps, tandis que d'autres se sont rapprochés. Mais je sais que je peux compter sur eux tout comme ils peuvent compter sur moi. Si ma famille constitue les racines de ma vie, je dirai que mes amis constituent l'écorce : friable, renouvelée régulièrement, c'est elle qui absorbe les chocs et me protège contre les agressions extérieures. Si ma famille balise mon chemin, mes amis sont mon carburant me permettant de parcourir la route : ils m'accompagnent au quotidien, m'inspirent et me boostent chaque jour pour que je continue ma marche en avant. La encore, je ne leur le dit jamais par pudeur, mais je les aime et tiens à leur dire combien j'apprécie leur présence à mes côtés.
Enfin, je vais terminer par mes collègues. Depuis 6ans, je les vois 10h par jour 5 jours par semaines 47 semaines par an. Je ne suis pas toujours d'accord avec eux, nous n'avons pas toujours la même vision des choses, mais on se respecte tous. On a des hauts et des bas, on a des points communs et des divergences, mais c'est la vie. Ils savent tous qu'ils peuvent compter sur moi, tout comme je sais que je peux compter sur leur dévouement à mon égard. J'ai des racines, j'ai une écorce : mes collègues sont les oligo-éléments. Comme beaucoup de monde, mon travail me permet de manger. Mais c'est bien plus que ça : ils me permettent de grandir, d'évoluer et de me renforcer. La encore, je tiens tous à les remercier, qu'ils soient simplement passés quelques semaines ou soient restés plusieurs années en ma compagnie.
Bref, sans toutes ces personnes, je ne serai surement pas là où j'en suis maintenant. Grâce à eux, je peux me retourner sans complexe sur mon passé. Surtout je peux envisager l'avenir avec sérénité, sans la moindre crainte ni la moindre appréhension. Si je ne suis pas doué pour faire de belles déclarations à l'oral, j'espère que cet écrit compensera ma lacune.
[edit du 10 décembre : je remercie mes soeurs aussi, que j'avais initialement oubliées dans la liste des personnes de ma famille, et qui s'en inquiétaient ... mais si, je vous aime !]
Je pourrai vous dire des choses banales, du genre qu'en 25 ans je suis passé par tous les états : les plus grandes joies comme les plus grandes peines. Les exemples ne manquent pas dans les 2 cas. Je pourrai vous dire d'autres choses banales comme le fait que je suis fier de ce que j'ai déjà accompli blablabla ... et vous faire toute une liste des choses qui me rendent fier de moi. Je passerai évidemment sous silence mes actions litigieuses, car comme tout le monde j'ai mes casseroles.
Les banalités, les ronds de jambes et les courbettes destinées à faire comme tout le monde : très peu pour moi ! Bien qu'ici ce soit mon blog, sur lequel je raconte ma vie, et que cet article semble consacré à mon anniversaire, je voudrais en réalité vous parler de ma famille, mes amis et mes collègues.
Je vais commencer par ma famille. C'est logique car ce sont les premiers à m'avoir accueillis au sein de leur groupe. Ce sont les premiers à m'avoir aimé. Je les vois peu, ils me voient peu. Je leur parle peu, ils me parlent peu. Je les apprécie, ils m'apprécient. Je ne leur le dit pas car ce n'est pas dans ma nature, mais je les aime et sans eux je serai très loin d'être où je suis. Mes parents, mes soeurs, mes grands-parents, mon parrain et ma marraine, mes oncles et tantes, mes cousins et cousines ... de par leur comportement et leurs conseils, de par leur équilibre et leurs valeurs, ils m'ont permis d'avoir un socle solide. Ce sont eux qui ont forment mes racines : ils m'ont montré le chemin à suivre pour rester droit et honnête en toutes circonstances. Ils sont les lumières qui balisent les routes sombres de ma vie et me permettent de rester dans le droit chemin quoi qu'il arrive. Je sais qu'ils me lisent, et je tenais à leur dire merci via cet article. Ils comptent bien plus pour moi qu'ils ne peuvent l'imaginer, et que je ne leur le montre.
Je vais continuer par mes amis. Quelques-uns me connaissent depuis près de 10ans et ont été là physiquement dans la majorité des grands moments de ma vie ces dernières années. D'autres ne me connaissent que depuis peu grâce à internet et ne m'ont jamais rencontrés en vrai. Nos vies et nos destins font que certains se sont progressivement éloignés ces derniers temps, tandis que d'autres se sont rapprochés. Mais je sais que je peux compter sur eux tout comme ils peuvent compter sur moi. Si ma famille constitue les racines de ma vie, je dirai que mes amis constituent l'écorce : friable, renouvelée régulièrement, c'est elle qui absorbe les chocs et me protège contre les agressions extérieures. Si ma famille balise mon chemin, mes amis sont mon carburant me permettant de parcourir la route : ils m'accompagnent au quotidien, m'inspirent et me boostent chaque jour pour que je continue ma marche en avant. La encore, je ne leur le dit jamais par pudeur, mais je les aime et tiens à leur dire combien j'apprécie leur présence à mes côtés.
Enfin, je vais terminer par mes collègues. Depuis 6ans, je les vois 10h par jour 5 jours par semaines 47 semaines par an. Je ne suis pas toujours d'accord avec eux, nous n'avons pas toujours la même vision des choses, mais on se respecte tous. On a des hauts et des bas, on a des points communs et des divergences, mais c'est la vie. Ils savent tous qu'ils peuvent compter sur moi, tout comme je sais que je peux compter sur leur dévouement à mon égard. J'ai des racines, j'ai une écorce : mes collègues sont les oligo-éléments. Comme beaucoup de monde, mon travail me permet de manger. Mais c'est bien plus que ça : ils me permettent de grandir, d'évoluer et de me renforcer. La encore, je tiens tous à les remercier, qu'ils soient simplement passés quelques semaines ou soient restés plusieurs années en ma compagnie.
Bref, sans toutes ces personnes, je ne serai surement pas là où j'en suis maintenant. Grâce à eux, je peux me retourner sans complexe sur mon passé. Surtout je peux envisager l'avenir avec sérénité, sans la moindre crainte ni la moindre appréhension. Si je ne suis pas doué pour faire de belles déclarations à l'oral, j'espère que cet écrit compensera ma lacune.
[edit du 10 décembre : je remercie mes soeurs aussi, que j'avais initialement oubliées dans la liste des personnes de ma famille, et qui s'en inquiétaient ... mais si, je vous aime !]
mercredi 7 décembre 2011
Le cyclocross : diffusion des courses
Le cyclocross est un sport qui me plait beaucoup, pour des raisons que j'ai exposées dans un article en janvier "Le cyclocross, et si le cyclisme reprennait un nouveau souffle ?".
Depuis le début de l'hiver 2010/2011, je regarde en direct la majorité des épreuves phares du calendrier : championnat du monde, coupe du monde, trophée superprestige, trophée GvA, championnat de France et challenge national. Au total, je dois suivre environ 30 courses dans la saison.
On me pose régulièrement la question : "comment fais-tu pour suivre tous les cyclocross ?". Cette question on me la pose en commentaire, sur twitter, sur facebook, dans la vraie vie, par mail … je dois y répondre à peu près toutes les semaines.
Pour suivre :
- les championnats du monde : France Télévision diffuse la course élite hommes, pour les courses féminines et juniors il faut se tourner vers le streaming
- les manches de la coupe du monde : seul le streaming diffuse en direct ces courses (edit : selon les informations de @SL_carq, la chaîne "sport +" diffuserai les courses en différé)
- les manches du superprestige : la chaine détentrice des droits de diffusion propose de visionner la course sur son site http://superprestige.vt4.be/
- les manches du trophée GvA : là aussi, il faut passer par le streaming
- les championnats de France : France télévision diffuse la course élite hommes, et des brefs résumés (commentés par l'insupportable Jean-René Godart) des courses féminines et juniors
- les manches du challenge national : les décrochages régionaux de France 3 diffusent en général la course élite hommes, il faut donc se tourner vers FR3 Alsace, FR3 Nord, … (ce qui est facilement faisable sur les différentes box ADSL)
Pour regarder une course en streaming, rien de plus simple :
- http://www.procyclinglive.com/livestream/ permet de suivre toutes les courses du calendrier : cyclocross, VTT, route, …
- http://www.sports-livez.com/ permet de suivre beaucoup de sports, pas seulement du cyclisme
Un seul bémol à noter : je vous conseille d'acquérir les bases du flamand et du néerlandais. Vous verrez qu'on comprend très vite les mots courants comme attaquer, être en tête, mener la chasse, crever, tomber, se faire distancer, … surtout que la majorité de ces mots ressemblent fortement à l'anglais au niveau de la prononciation. De toute façon, avec l'image, on comprend ce qui se passe sans avoir besoin de commentaires audio.
Lexique :
- start = le départ
- start line = la ligne de départ
- lap = tour
- 3 lap to go = 3 tours restants
- bunch = le peloton
- attack = attaquer
- fall = tomber
- pit stop = changement de vélo au stand
- take the lead = prendre la tête (de la course ou du groupe)
- the breakaway = l'échappée
- chasing group = le groupe de contre
- stunt = saut (au-dessus des planches)
- front/back wheel = roue avant/arrière (utile pour les crevaisons)
Depuis le début de l'hiver 2010/2011, je regarde en direct la majorité des épreuves phares du calendrier : championnat du monde, coupe du monde, trophée superprestige, trophée GvA, championnat de France et challenge national. Au total, je dois suivre environ 30 courses dans la saison.
On me pose régulièrement la question : "comment fais-tu pour suivre tous les cyclocross ?". Cette question on me la pose en commentaire, sur twitter, sur facebook, dans la vraie vie, par mail … je dois y répondre à peu près toutes les semaines.
Pour suivre :
- les championnats du monde : France Télévision diffuse la course élite hommes, pour les courses féminines et juniors il faut se tourner vers le streaming
- les manches de la coupe du monde : seul le streaming diffuse en direct ces courses (edit : selon les informations de @SL_carq, la chaîne "sport +" diffuserai les courses en différé)
- les manches du superprestige : la chaine détentrice des droits de diffusion propose de visionner la course sur son site http://superprestige.vt4.be/
- les manches du trophée GvA : là aussi, il faut passer par le streaming
- les championnats de France : France télévision diffuse la course élite hommes, et des brefs résumés (commentés par l'insupportable Jean-René Godart) des courses féminines et juniors
- les manches du challenge national : les décrochages régionaux de France 3 diffusent en général la course élite hommes, il faut donc se tourner vers FR3 Alsace, FR3 Nord, … (ce qui est facilement faisable sur les différentes box ADSL)
Pour regarder une course en streaming, rien de plus simple :
- http://www.procyclinglive.com/livestream/ permet de suivre toutes les courses du calendrier : cyclocross, VTT, route, …
- http://www.sports-livez.com/ permet de suivre beaucoup de sports, pas seulement du cyclisme
Un seul bémol à noter : je vous conseille d'acquérir les bases du flamand et du néerlandais. Vous verrez qu'on comprend très vite les mots courants comme attaquer, être en tête, mener la chasse, crever, tomber, se faire distancer, … surtout que la majorité de ces mots ressemblent fortement à l'anglais au niveau de la prononciation. De toute façon, avec l'image, on comprend ce qui se passe sans avoir besoin de commentaires audio.
Lexique :
- start = le départ
- start line = la ligne de départ
- lap = tour
- 3 lap to go = 3 tours restants
- bunch = le peloton
- attack = attaquer
- fall = tomber
- pit stop = changement de vélo au stand
- take the lead = prendre la tête (de la course ou du groupe)
- the breakaway = l'échappée
- chasing group = le groupe de contre
- stunt = saut (au-dessus des planches)
- front/back wheel = roue avant/arrière (utile pour les crevaisons)
Libellés :
Cyclocross
lundi 5 décembre 2011
Premier dimanche de décembre
En ce 1er dimanche du mois de décembre, la température était relativement douce : elle était de 12°C. Une importante couverture nuageuse masquait le soleil et déversait régulièrement un crachin rendant l'atmosphère humide et les routes légèrement glissantes.
En ce 1er dimanche du mois de décembre, j'ai roulé seul : mes compagnons habituels avaient optés pour une sortie VTT le samedi midi, à laquelle je n'ai pu me joindre faute de VTT.
Enfin, je n'étais pas vraiment seul : si les routes étaient peu chargées en circulation, j'ai tout de même eu 3 automobilistes qui m'ont parlé. Le premier m'a demandé sa route, le second m'a insulté gratuitement (je ne sais d'ailleurs pas trop ce qu'il voulait), et le dernier m'a simplement dit qu'il n'était pas pressé et préférait rester derrière moi plutôt que me doubler. Ce dernier automobiliste avait 100 fois la place de me doubler mais non : il est juste venu à ma hauteur pour me dire qu'il avait tout son temps et s'est rangé derrière moi tranquillement pour me suivre pendant plus d'un kilomètre. Etrange.
En ce 1er dimanche du mois de décembre, je suis allé rouler dans les Monts d'Or et ai grimpé jusqu'au col du Verdun. Je me souviens que d'autres années, en décembre, j'avais franchi ce col sous la neige ou par un tel froid que mes bidons étaient inutilisables car entièrement pris par la glace. Malgré le crachin qui m'a humidifié quasiment tout le long de la montée, je n'ai pas eu froid et mes bidons étaient opérationnels.
En ce 1er dimanche de décembre, je suis devenu le nouveau KOM (King of Moutain) de la montée des gorges d'enfer sur @strava. C'est une courte montée de 1,4km à 6,1% de moyenne. J'ai pour cela battu le record de @benjilamalice, mais vu son niveau par rapport au mien je doute que mon nouveau record tienne longtemps … J'avoue que remporter ce titre n'était pas le but de ma sortie, et que j'ignorais que c'était lui qui le détenais.
En ce 1er dimanche de décembre, j'ai donc passé une sortie mitigée. La sortie était courte et humide, les jambes répondaient pas trop mal mais je ne les ai pas vraiment testées. Bref, en ce premier dimanche de décembre j'ai fait une sortie banale comme tant d'autres.
Consultez mon parcours sur Strava.
Consultez mon parcours sur Endomondo.
En ce 1er dimanche du mois de décembre, j'ai roulé seul : mes compagnons habituels avaient optés pour une sortie VTT le samedi midi, à laquelle je n'ai pu me joindre faute de VTT.
Enfin, je n'étais pas vraiment seul : si les routes étaient peu chargées en circulation, j'ai tout de même eu 3 automobilistes qui m'ont parlé. Le premier m'a demandé sa route, le second m'a insulté gratuitement (je ne sais d'ailleurs pas trop ce qu'il voulait), et le dernier m'a simplement dit qu'il n'était pas pressé et préférait rester derrière moi plutôt que me doubler. Ce dernier automobiliste avait 100 fois la place de me doubler mais non : il est juste venu à ma hauteur pour me dire qu'il avait tout son temps et s'est rangé derrière moi tranquillement pour me suivre pendant plus d'un kilomètre. Etrange.
En ce 1er dimanche du mois de décembre, je suis allé rouler dans les Monts d'Or et ai grimpé jusqu'au col du Verdun. Je me souviens que d'autres années, en décembre, j'avais franchi ce col sous la neige ou par un tel froid que mes bidons étaient inutilisables car entièrement pris par la glace. Malgré le crachin qui m'a humidifié quasiment tout le long de la montée, je n'ai pas eu froid et mes bidons étaient opérationnels.
En ce 1er dimanche de décembre, je suis devenu le nouveau KOM (King of Moutain) de la montée des gorges d'enfer sur @strava. C'est une courte montée de 1,4km à 6,1% de moyenne. J'ai pour cela battu le record de @benjilamalice, mais vu son niveau par rapport au mien je doute que mon nouveau record tienne longtemps … J'avoue que remporter ce titre n'était pas le but de ma sortie, et que j'ignorais que c'était lui qui le détenais.
En ce 1er dimanche de décembre, j'ai donc passé une sortie mitigée. La sortie était courte et humide, les jambes répondaient pas trop mal mais je ne les ai pas vraiment testées. Bref, en ce premier dimanche de décembre j'ai fait une sortie banale comme tant d'autres.
Consultez mon parcours sur Strava.
Consultez mon parcours sur Endomondo.
Inscription à :
Articles (Atom)