Voilà un long moment que je n'avais pas fait de sortie de force, j'ai donc décidé d'aller m'offrir une pique de rappel sur les pentes du Mont Verdun. Comme hier, la chaleur était présente, et dans la montée j'avais de chaudes gouttes de sueur particulièrement désagréables qui coulaient le long de mes joues.
Voici les données des 4 montées :
- montée 1 : 39x19, 9'08", 153bpm moy, 160bpm max
- montée 2 : 52x16, 9'25", 154bpm moy, 169bpm max
- montée 3 : 39x19, 10'18", 140bpm moy, 155bpm max
- montée 4 : 52x16, 09'46", 150bpm moy, 170bpm max
La 3ème montée est plus lente que les autres pour une raison simple : j'ai vu des mures, et le temps que j'hésite pour savoir si je m'arrêtais où non pour les manger, il m'a fallu rebrousser chemin d'où la perte d'une quarantaine de secondes dans l'opération. J'ai bien fait de m'arrêter : les mûres sauvages étaient particulièrement bonnes !
Au niveau des sensations, les montées se sont plutôt bien déroulées : lors des 2 montées en force je cherchais à bien insister sur le fait de tirer sur la pédale vers le haut avec la jambe qui remonte, et à bien faire travailler les chevilles. En revanche, sur la fin de sortie, lors du retour sur le plat, je me suis senti moins bien donc j'ai levé le pied : la phase sérieuse de l'entraînement était derrière moi, il était inutile de forcer bêtement pour rentrer chez moi !
tu sais que les ronces c'est arrosé seulement avec de la pisse de cycliste!!!!!
RépondreSupprimermhhhh bon apeti biensur!!!!
Je te remercie pour la justesse de ton commentaire, qui apporte une quantité non négligeable d'informations de qualité !
RépondreSupprimerje te ferai juste remarquer que la "pisse" de cycliste est un processus naturel : de l'eau naturelle circule dans le corps humain, se charge de matières naturelles produites par le corps, se déverse sur la terre au pied des ronces ... de manière naturelle, la terre filtre et les ronces ne se servent que des éléments dont elles ont besoin pour produire un fruit.
Ma conclusion, c'est que je préfère amplement les fruits arrosés de manière naturelle par les cyclistes à ceux ayant été produits dans des serres, ayant voyagé en avion/camion/bateau, ayant été traité pour être conservés plus longtemps ...