Samedi, entre 2 couches de lazure et 2 découpes de tasseaux, j'ai pris 3h pour aller rouler. Les travaux m'épuisent physiquement (j'ai le dos, les épaules et les bras détruits, je dors moins de 5h par nuit depuis 15j) et mentalement ... vivement qu'ils se terminent, et que je puisse me concentrer pleinement sur ma préparation du Paris-Roubaix Challenge, mon gros objectif du printemps.
Je suis monté au club rendre mes formulaires de demandes de licence (FFC et Ufolep cette année), et y ai retrouvé 3 coéquipiers. Vu le fort vent qu'il y avait, rouler à 4 est bien plus agréable que rouler seul, car en prenant chacun ses relais ça permet de se reposer et de ne pas être constamment en prise au vent. On a fait une première boucle d'une trentaine de kilomètres, avant de rejoindre un 5ème homme pour une autre trentaine de kilomètres.
Au niveau physique, j'ai fini cramé : le manque de sommeil et les efforts physiques des travaux m'avaient déjà bien entamé, Manu s'est involontairement chargé de me finir ! Malgré 4 saisons au sein du club, il ne sait toujours pas prendre de relais au train : il accélère de manière brute quand il est dans la file montante, et ralentit beaucoup trop dans la file descendante ... étant derrière lui, j'étais obligé d'encaisser tous ses a-coups, ce qui à la longue est usant ! Je n'ai pas pu assurer mes relais jusqu'au bout, seuls Seb et Lionel ont réussi à assurer le tempo dans les derniers kilomètres.
Voici le lien vers le parcours.
Florent
RépondreSupprimerLe reproche que tu fais à Manu, on me le fait aussi dans mes sorties club.
On a l'impression qu'il faut faire vite pour prendre un relais.
Mais en course c'est peut être une bonne tactique pour épuiser les adversaires.
Guy