Lundi soir, j'ai roulé avec Julien sur un parcours plat afin de décrasser mon organisme suite au Tour des Grands Ducs. Ayant fait la dernière étape sans trop forcer, je n'avais pas vraiment besoin de décrasser donc après un long échauffement nous avons pu faire une belle prise de relais.
Il faisait beau et bon : le ciel était bleu et il faisait une vingtaine de degrés. Il n'y avait pas de vent, ou très peu. C'était impeccable pour rouler, nous nous sommes régalés.
Mardi soir, même heure, mêmes protagonistes : je suis retourné rouler avec Julien, mais cette fois nous avons choisi d'aller grimper dans les Monts d'Or. C'est notre jardin, notre bac à sable de jeunes cyclistes. Quand on roule sur ces routes, c'est un peu comme un retour aux sources : c'est ici qu'on a appris à rouler, qu'on a gravi nos premiers cols et expérimenté les lois de la physique permettant de descendre sans faire d'efforts. Nous ne connaissions pas Newton et n'avions aucune idée de ce qu'était la "gravitation universelle", mais nous découvrions que la descente était bien plus facile que la montée.
Les montées se sont bien passées. Elles ont été faites au train, j'avais un peu de mal dans les passages plus pentus. Julien m'a attendu régulièrement. Je n'ai pas encore retrouvé le coup de pédale de la montagne : quand la pente est roulante je n'ai pas de soucis mais dès qu'on dépasse les 6 à 7% ça devient plus compliqué.
Si le ciel était bleu et que la température était agréable, le vent était en revanche très fort. 60km/h. La descente vent de face a été plus compliquée que la montée vent de dos ! Je ne vous raconte pas les portions montantes vent de face ...
Consultez notre parcours de lundi, et celui de mardi.
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